Dernier épisode des aventures d’Alex, suite à la question de l’un d’entre vous.
Si dans mes différents récits les rencontres semblaient idylliques, assez respectueuses et le plaisir partagé, il n’en a pas toujours été ainsi…
Une nuit en sortant de chez Léo, je me suis senti suivi quasiment immédiatement, des bruits de pas étouffés mais les gravillons les trahissaient. Je me retournai et aussitôt un homme qui était derrière moi sur le même trottoir traversa. Il avait remonté le col de sa veste et dans l’obscurité je ne discernais pas ses traits. Je le laissais prendre de l’avance, il marchait d’un bon pas. Il disparut de ma vue.
Je traversais le pont de l’Université et pris à droite quai Claude Bernard, plus personne en vue. Je hâtai le pas malgré tout. J’en oubliais d’être prudent… A l’angle d’une rue je vis trop tard une ombre qui bondissait vers moi. Je sentis un objet pointu et froid me piquer au niveau de la nuque. « Ne crie pas et tout se passera bien... Passe devant moi... ». Je m’exécutai. « Arrête toi ! ». Il poussa une porte. Nous étions rue de Marseille. « Entre ». Aussitôt la porte refermée derrière lui, il me dit « Mets toi à genoux ! ». Ce que je fis. Il défit la ceinture de son pantalon et me fourra sa queue dans la bouche. Moi qui est toujours eu en horreur les odeurs de sexe mal ou pas lavé, j’étais servi. Je le masturbais en même temps ce qui le fit bander bien raide très vite. Il me fis baisser mon pantalon. « Tourne toi ! ». Je m’appuyais contre le mur, écartais les jambes… Il me prit comme un sauvage et jouit très vite en grognant. Tout en me tenant collé à lui il me dit en plaçant sa lame sur mon cou, « Tu m’appartiens maintenant petit pédé, je t’enculerai autant que je le voudrais ma salope ». Il se retira aussitôt, remonta son pantalon et sortit rapidement. Je m’appuyais contre le mur en remontant mon pantalon. J’avais le contrecoup de la peur, j’étais tétanisé.
Je rentrai rapidement à la cité universitaire et me lavais plusieurs fois de suite. Je me disais « Pourvu que ce gars ne m’ait pas refilé une saloperie... ».
Quelques jours plus tard quand je racontais ma mésaventure à Léo, il m’interdit de repartir à la cité U de nuit. Je ne revis jamais mon violeur.
Quant à porter plainte je n ‘avais pas envie de vivre la mésaventure que Léo avait vécu au commissariat du 7e arrondissement, place Jean Macé, pour une fellation forcée sous la menace d’un couteau. Les policiers goguenards lui demandaient de raconter dans le détail. L’un d’entre eux finit par lui dire « Tu ne veux pas reproduire la scène sur moi ? ». Léo était parti sous les rires des policiers. Il en gardait un souvenir cuisant.
Un vendredi, c’est une femme qui vint me voir à la Brasserie Georges. Blonde, la cinquantaine un peu enveloppée, joli visage, la chair visiblement un peu molle…
« Voilà je voudrais offrir un cadeau un peu spécial à mon mari… En fait si j’ai bien compris vous couchez avec des hommes ? ». je lui fis signe que oui. « En fait le cadeau ce serait vous… Mon mari rêve depuis longtemps d’avoir des relations sexuelles avec un homme, jeune de préférence ».
Je repris mon expression favorite « Pourquoi pas ! Ça se passerait comment ? »
« Nous habitons au début de la rue Edouard Herriot, à l’angle de la place Bellecour. » Je me dis « C’est pas des pauvres... ».
« Nous fêtons son anniversaire samedi prochain, dans huit jours, à 15 heures… Si vous êtes disponible... ». « Je n’ai rien de prévu… Ça va se passer comment ? ».
« Mon frère téléphonera à mon mari à 15 heures précises. Pendant qu’il seront en conversation je vous introduirai dans l’appartement jusqu’à la chambre de mon mari... ». « Il font donc chambre à part », se dit Alex Holmes, détective d’occasion…
« Vous vous déshabillerez et vous positionnerez à quatre pattes sur le lit. Je chaufferai bien mon mari et le conduirai dans sa chambre. Je lui dirai « Voici ton cadeau mon chéri et il vous fera… enfin il s’occupera de vous ... ». « Elle a peur des mots » se dit Alex Watson.
« Oui il me sodomisera. ». « Voilà » me dit la blonde en minaudant.
Le samedi à 15 heures moins quelques minutes j’arrivai sur le palier. Le téléphone sonna, j’entendis une voix d’homme répondre « Oui, merci, merci.. » La porte s’ouvrit doucement, je m’engouffrai dans le couloir et suivis la belle blonde. Elle me fit entrer dans une chambre, les rideaux étaient a demi tirés mais la lumière laissait encore voir tous les détails, lit, commode, table de nuit…
Je me déshabillai rapidement non sans jeter un œil sur mon hôtesse en nuisette transparente. Lorsque je fus à quatre pattes sur le lit, elle sortit en me faisant signe de patienter.
Le téléphone avait été raccroché, je les entendis échanger quelques mots que je ne compris pas.
La porte s’ouvrit brusquement, la blonde marchait à reculons pelotée par son mari. Elle s’écarta et me désignant « Bon anniversaire mon chéri !.. ». « Hummm… cadeau royal... » dit-il. « Tu en avais envie depuis si longtemps ! ». Il s’avança derrière moi, cracha sur ma rondelle plusieurs fois et me pénétra direct et bien à fond. Il prit son temps, jouissant visiblement de chaque va et vient. Je prenais vraiment mon pied… Grosse queue moyennement longue, c’était excellent. Il me lima un moment, le gars était endurant. J’étais habitué aux coups de reins plus secs qui précédaient la jouissance. Il ne fit pas exception… Dans un dernier coup de reins il lâcha sa semence dans un long râle. Je restais bien collé à lui puis il se retira doucement. Sa femme qui avait profité du spectacle lui tendit du papier toilette pour qu’il s’essuie. Elle le regardait amoureusement. Il la prit dans ses bras.
A cet instant on sonna à la porte. Tout en enfilant son pantalon il me dit « Ne bougez pas ! » et alla ouvrir. La blonde, un peu gênée aux entournures, me dit « Ce sont nos amis... ». « Les amis n’étaient pas prévu dans le ‘contrat’. J’étais le cadeau de votre mari, c’est bien ça ? ». « Oui mais... ». « Il n’y a pas de mais... ». Pendant ce temps je me rhabillais.
Et c’est là que la situation dérapa. Le mari arriva tout sourire suivi par deux couples. Et me désignant du doigt « Voilà mon cadeau ! » et réalisant que j’étais habillé devint rouge de colère « Mais pourquoi il s’est rhabillé ce petit con ? Mon anniversaire n’est pas terminé. Ton cul est à disposition pour mon anniversaire, non ?! ». Pendant ce temps les deux couples étaient en train de se déshabiller. « Des libertins... » en déduisit le commissaire Alex Maigret.
« Votre épouse ne m’a parlé que de vous. J’ai rempli mon contrat ! Je vous laisse vous et vos amis à vos galipettes... ». Les deux couples étaient maintenant à poil dans la chambre. « J’ai passé un excellent moment, vous êtes une bonne queue ! ». et je m’apprêtais à sortir de la chambre lorsque l’un des deux hommes m’attrapa par le bras. « Mais où elle va la petite pute ? Tu as entendu ce qu’on t’a dit? L’anniversaire n’est pas fini, tu vas encore servir... ».
Depuis que je suis enfant je n’ai jamais accepté d’être retenu, contraint, serré, même dans les jeux avec les copains. Je regardai le gars et lui dis calmement « Lâchez moi immédiatement ou je vous colle une... ». Surpris il me lâcha mais au lieu de me laisser passer, me poussa sur le lit. Déséquilibré je tombais sur le dos et me retournais aussitôt pour me relever. Mal m’en a pris. L’homme me maintint par les chevilles et demanda au maître de maison de me tenir par les poignées. « Je vais lui donner du bâton à cette fiote moi ! ».
Il demanda au troisième homme de me tenir les chevilles pendant qu’il baissait mon pantalon. Et là miracle, les femmes qui observaient la scène avec stupéfaction intervinrent. « Paul, non ne fais pas ça ! Vous n’allez pas le violer quand même ? ». « On ne viole personne il est venu de lui-même comme cadeau d’anniversaire ! C’est de l’argent que tu veux c’est ça ? » dit le deuxième homme.
« Jean, je t’en prie ! » finit par dire son épouse. « Mais c’est une pute ! Il passe son temps à se faire limer la chatte ! Qu’est-ce que vous vous apitoyez sur lui ! ». Il repartit dans le couloir et revint avec une liasse de billets qu’il me lança. « Tiens maintenant à poil et ouvre ta chatte bien grand, tu es là pour ça ! ». Je réussis à me relever. La blonde maîtresse de maison se tourna vers moi « Je suis désolée ! Je ne voulais pas ça je vous assure ! » Puis regardant les trois hommes elle leur dit « S’il vous plaît laissez le partir ! ». « Je suis d’accord avec Hélène ! » insista l’épouse de Jean. « La blonde s’appelle donc Hélène... » nota Alex Poirot.
« Venez, passons au gâteau ! » dit la blonde, sortant de la chambre suivie des deux femmes puis des trois hommes qui me regardaient sans bienveillance et sortaient lentement avec réticence. « Petit con ! » me glissa le deuxième homme, celui qui avait été le plus véhément. Je donnai un coup de pied à quelques billets qui étaient tombés du lit quand je m’étais relevé et je sortis.
Quelle scène surréaliste, pathétique...Trois hommes et deux femmes à poil et la maîtresse de maison en nuisette affriolante…
La blonde revint vers moi au moment où j’allai sortir. « Je suis vraiment désolée ! N’en parlez à personne, mon mari jouit d’une certaine réputation...». Elle avait l’air sincère. « Vous voulez emporter un bout de ...
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