Les vendanges avec Tonton ( Suite 1 )

Réveillé de bonne heure par Tonton, il a fallu que je replace mes idées en tête. Oui il m’a baisé comme une lope, mais j’ai aimé cela !

Il a décelé rapidement mon côté Bi, que je cherche sans cesse à cacher. Au moins je suis tranquille pour deux semaines, je n’aurai pas à me cacher !
Il est déjà levé et sort de la douche à poils.
« ça va mon coquin, bien dormi ! «
« Oui, super, une bonne nuit ! «
« Content que tu aies aimé, car tu vas être ma chose pendant les vendanges, ne t’inquiètes pas, tes parents n’ont seront rien ! «
« Je suis là pour en profiter, car après, c’est retour à la réalité et avec les parents, pas facile ! «
Après le petit déjeuner, reprise de la route. Tonton conduit, il a baissé son short et n’a pas de slip. Sur l’autoroute, il me demande de le sucer.
Après hésitations, j’avale son sexe et lui prodigue une fellation. J’aime sa queue, elle est bonne à sucer,
je m’applique pour lui faire une gorge profonde. Il ne dit rien, il a l’air d’apprécier et finit par se vider en moi. Puis, il m’ordonne d’aspirer son jus au maximum, en pressant ses couilles.
Comme son esclave, je ne réponds pas et exécute ses envies, j’aime son jus, sa bite, je suis content d’être là !
La route se poursuit tranquillement. Après la pause déjeuner, Albert m'embrasse et me demande de lécher son sexe une nouvelle fois, et de le sucer! Il finit par m’avouer que je suce bien ! Cela me rend fière.
Nous arrivons vers 17 H 00 à la grange qui sert de dortoir. J’attends dans la voiture pendant qu’Albert prend contact avec les exploitants.
Il revient tout guilleret et me dit de porter les sacs. Nous allons au dortoir. Celui-ci est séparé en deux, avec un côté femmes.
De notre côté, il y a une dizaine de lits
" style armée ", cela ne me changera pas.
Nous nous installons. Les autres occupants sont en ville, c’est Dimanche.
Le dîner est prévu à 19 h00, il nous reste un peu de temps à flâner. Nous prenons une douche.
Nous allons dîner ensuite. Du poulet frites, et du vin rouge à volonté, il est bon. Nous faisons connaissance avec nos collègues. Albert a déjà branché un Espagnol, je suis un peu jaloux !
Je me sens bien, le vin est bon, j’en abuse ! Tonton a pris une pilule bleu, je ne savais pas qu’il avait un traitement !
Albert baragouine en Espagnol avec son voisin. A la fin de repas, nous nous dirigeons avec lui vers le dortoir.
L’Espagnol change sa place avec un autre pour être à côté de nous.
L’obscurité gagne peu à peu le dortoir. Les autres dorment. Il n’y a qu’au fond que deux hommes sont visiblement accouplés.
L'Espagnol est assis sur le matelas d’Albert. Ils commencent à s’enlacer et s’embrasser. Cela me fait bander !
Je suis torse nu en caleçon. Cela m’excite.
Albert m’appelle :
« Viens là François, dis bonjour à Antonio mon Ami ! «

Je m’approche timidement vers lui.
À sa hauteur, celui-ci m’embrasse sur les lèvres et me dit :
« Chûpame ! ( Suces moi ! ) «
Je ne le comprends pas, mais quant il présente son sexe face à ma bouche, je réalise ce qu’il veut !

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