Chers amis. Un grand merci encore pour votre fidélité et vos notes. Merci pour vos échanges par message dont je suis toujours friand, permettant de m'améliorer. Belle journée à vous.
Mais la belle n’avait pas son content et elle nous minauda : « à vous deux maintenant de venir me chatouiller mon petit abricot avec vos langues expertes. »
Et nous voici donc, tous deux, côte à côte, ou plutôt joue contre joue, enfouis entre les cuisses largement écartées de notre gazelle, à lui titiller l’asticot.
Pour ma part, ayant violemment joui dans mon bel amant auparavant, j’avoue que j’avais perdu une grande partie de mon excitation, et je m’exécutais plus pour faire plaisir à notre compagne que pour moi-même.
Il en était tout autrement pour Younes, bien qu’il ait éjaculé généreusement presque deux fois consécutivement, enfouissait sauvagement sa langue, et avec délectation, dans la fente poilue, léchant avec avidité tout sur son passage. Moi, je participais avec mesure car j’étais plus subjugué par sa fougue et son entrain. Je jetais un coup d’œil rapide sur son vit, il était mou… Enfin disons mi-mou !
Décidément, dans cette famille, le sort les avait dotés naturellement d’une sacrée dose de testostérone ! Je le regardais, le visage trempé par sa transpiration et la cyprine abondante qui semblait le stimuler encore plus - le goût ou l’odeur surement… Ce n’était plus sa langue qui pénétrait, mais son nez, sa bouche, presque son menton. J’essayais de le temporiser un peu en m’y immisçant moi aussi et surtout lui montrer comment avec les dents, et délicatement, il pouvait encore plus aiguillonner ce clitoris. Bien évidemment, dès que je m’exécutais, nous entendîmes des réactions de ravissement. Je laissais alors la place à Younes qui s’y mit avec ardeur, titillant, mordillant, suçant, happant son abricot consécutivement. Ce garçon apprenait vite. La femelle était au Nirvana, beuglant de plaisir et se tortillant, le ventre visiblement en feu. C’est sans doute ce qui piqua Younes qui, je ne sais pas pourquoi, devint comme fou, lui bouffant à l’instant complètement la chatte, assortissant cela de phénoménales claques sur les cuisses et criant : « Tu aimes ça ma salope ! Tu aimes ça, hein, tu es une vraie chienne, une putain ! »
Je le fixais, sidéré, ne comprenant absolument pas d’où il sortait tout cela. Il me regarda en rigolant, l’air complice.
Mais la gazelle ne sembla pas apprécier. Elle le surprit en refermant violemment ses jambes et lança :
- Dis donc mon coco. Ce n’est pas parce qu’on a une certaine intimité qu’il faut devenir vulgaire ! Je déteste ça ! Alors garde tes expressions pour tes moukères, mais avec moi il faut de la classe, j’aime les gentlemen !
Cela refroidit du coup mon Younes, qui resta interdit, me regardant, coi.
Je lui souris et pris sa place, écartant à nouveau lentement les cuisses de ma Belge.
Elle apprécia ses nouvelles caresses. Puis, Younes visiblement réchauffé, s’immisça au point de reprendre petit à petit toue la place, provoquant de nouvelles contorsions de plaisir de la belle.
La contournant un peu, je me résolus alors à venir lui brouter l’autre orifice. Tout de suite, elle se cambra et m’offrit sa rondelle magnifique.
----, Oh oui, allez-y mes choux, des deux côtés ! J’adore. Je suis un vrai biface moi ! »
Légèrement de côté, je puis distinguer une nouvelle belle érection chez Younes. Quelle santé !
Mais l’action soutenue de sa langue dans sa foufoune et celle de ma langue sur son fondement fit un effet évident chez notre Belge. Elle se tortillait de plus en plus, broyant la tête de mon amant pour la plaquer encore plus contre elle. Ce n’étaient plus des gueulements, mais des râles, comme des feulements. Je compris qu’elle jouit au long cri stridant qu’elle lança. Surpris, Younes recula, le visage inondé par le jet de cet femme fontaine.
- T’arrête pas mon chou ! Reviens, reviens, Continue à me dévorer !
Il s’exécuta. Il la faisait maintenant non plus vibrer, mais c’était de véritables spasmes de jouissance qui la faisait se trémousser. Tout cela m’avait terriblement enflammé et toute ma vigueur était revenue. J’en profitais alors pour plaquer mon gland turgescent contre sa rondelle que j’avais consciencieusement lubrifiée, puis l’immiscer sans qu’elle se dérobe.
- Ah oui, par là aussi. Vas-y, et toi, mon chou, prends-moi par devant, toi aussi. A deux ça va être génial !
Younes ne comprenait pas. Il me regarda et réalisa alors que j’étais en train de la sodomiser. Se plaquant contre elle, la tenant par les épaules, il put insérer son bel engin dans un lieu qui, maintenant, lui était coutumier…
Nous étions là, allongés sur ce matelas en skaï de piscine, sur le côté, enserrant Madeleine de part et d’autre. Chacun lui assenait des coups de reins qui la faisaient à chaque fois remonter sur la toile. J’avoue que j’étais très excité, passant mes bras par-dessus elle pour mieux tenir mon Younes par les fesses que je sentais se contracter au rythme de ses coups de reins. Lui persistait à se cramponner à ses épaules, pour pouvoir la pénétrer encore plus profondément. Tout à son plaisir, il ne l’embrassait même plus. Elle, miaulait, tenant fermement les reins de Younes. Nos mouvements désordonnés, finirent par entrer en phase, ce qui visiblement la ravit. A chaque fois que j’arrivais au fond, je sentais les couilles de mon compagnon venir frotter contre les miennes ! Quelles délicieuses sensations ! Je dus abandonner à regret les fesses de mon homme quand elle me demanda de la prendre par les seins et de la masser très fort. Je m’y conformais, regrettant tout de même les beaux muscles fermes et galbés de mon Marocain, qui, lui, se démenait comme un diable et la pilonnait maintenant à une cadence que je ne parvenais plus à suivre ! Elle gémissait comme un appel primitif sous nos coups de ventre. Ne pouvant plus me retenir, je jouis, inondant son fondement de sperme. Ma queue devenant flasque rapidement, je dus me retirer.
S’en rendant compte, et la sentant enfin libre, il la retourna alors sur le dos et vint la chevaucher.
Sur le côté maintenant, complètement assouvi, je les regardais. Je les trouvais magnifiques : elle, très femelle dominée par son mâle et lui, l’étalon en rut, la possédant violemment par de fantastiques ondoiements de son bassin. Tout cela me fascinait : il s’activait encore plus, comme un dément, la pilonnant, l’embrassant, lui léchant les seins gonflés de plaisir. Je voyais les muscles de son corps harmonieux, mais musclé et luisants, ondoyer, son bassin se creuser par instant, ses fesses basculant d’un coup sec vers l’avant, la poitrine suintante, les bras tendus ou à demi-tendus, mettant en valeur le divin arrondi de ses épaules, son cou tendu, sa bouche crispée et son regard fixé dans les yeux de sa partenaire. C’était un spectacle qui me paraissait à la fois plein d’élégance, de brutalité et dantesque.
Puis, sous la répétition de ces percussions sauvages, elle vagit de plaisir sous les ondes de jouissance. Younes, lui, persévérait dans ses martèlements furieux et ses halètements sensuels. Elle s’abandonna, d’un coup inerte. Puis, ses va-et-vient furieux devinrent tellement violents qu’il la faisait à chaque fois riper plus haut sur le skaï. J’étais absolument subjugué et n’aurait raté cela pour rien au monde.
Puis, dans un spasme incontrôlable, le corps de Younes se cambra violemment, tendu comme une corde d'arc sous l'impulsion d'un courant brûlant. Ses bras, raidis sous l'intensité du moment, le soutinrent un instant dans une posture vibrante de tension, tandis que sa tête se renversa en arrière, tendue vers le ciel. Un long "Haaaaa" , rauque et animal, s'échappa de sa gorge, comme arraché des profondeurs d'un plaisir foudroyant, râle qui ne manqua pas de me donner le frisson. Puis, il s’affala pesamment sur elle.
Pour ma part, totalement rassasié et vidé, je m’installais sur la chaise longue d’à coté et les regardait. Je les trouvais réellement beaux et j’aurais aimé qu’un peintre immortalisa cette scène. Ils mirent quelque temps à reprendre leur souffle. Puis, Younes le fit un baiser tendre et touchant et lui demanda :
- Tu as soif ?
- Oui, mon cou et faim. Apporte-moi un thé et des gâteaux.
Il se relèva, et là, je fus comme frappé, stupéfié par la métamorphose qui s'opérait sous mes yeux. Ce n'était plus le Younes d'hier, cet adolescent à la beauté éclatante et juvénile, ce David ...
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