Rien ne prévoyait qu'ils deviendraient si proche , mais une chose indéfinissable les attirait .
Jean était un beau gaillard jovial
Pierre était athlétique plutôt effacé
Le point qui les reliait étaient qu'ils étaient barbus .
Un week-end de juillet , ils décidèrent de prendre un tandem afin , d'aller
se balader dans la campagne environnante . les champs étaient moissonnés
et à découvert .
Jean devant et Pierre derrière .
Ils roulaient joyeusement dans ce beau paysage champêtre .
C'est jean qui avait invité Pierre pour se rendre dans une petite clairière
agrémentée d'une rivière et très sauvage ou , jamais personne ne venait .
Arrivés à destination ils s'étendirent sur l' herbe grasse ils s'abreuvèrent
en se racontant leur vie ; la chaleur étant ils finirent par s'assoupir ,
Jean adossé au tronc d'un arbre , Pierre face à lui . Ce fut Jean qui s"éveilla
le premier et entrepris de reveiller Pierre à l'aide dune brindille , dont la tête
de Pierre était à présent sur les jambes de Jean .
Jean invita Pierre pour une baignade , ils se mirent en maillot et allèrent
s' ébattre dans l' eau , en s'aspergeant s' attrapant , s' immergeant le tout
était très agréable . Jean sorti le premier en tendant sa main à Pierre
Jean l' attira à lui et fut attiré comme un aimant vers son ami qu' il enlaça
Pierre pris au dépourvu se laissa surprendre par cette étreinte et fini par
lui rendre la pareille en l' enlaçant à son tour .
A présent leur deux corps étaient collés l' un à l' autre
Pierre en perdit l' équilibre presque à la limite de l' évanouissement que son
corps enlacé fortement par Jean se renversa vers l' arrière .
Jean lui embrassa le cou et le haut du torse de Pierre qui reprenant ses
esprits se réfugia dans les bras de Jean , leurs coeurs battaient fortement .
Maintenant l'envie était mutuelle , leurs jambes ainsi que leurs sexes se
touchaient se frottaient et prenaient du volume faisant croitre leur passion
naissante .
Leurs mains frémissantes se posaient sur leurs corps respectifs , s'offrants
aux aux caresses , aux baisers comme des offrandes charnelles .
Ni l' un ni l' autre n' avait imaginé ce qui se produisait en eux .
Là ils se laissèrent tomber par terre en abandonnant leurs calçons de bain
pour s' offrir aux regards de l' autre comme un précieux présent .
Pierre enlaça maintenantes fortement Jean afin de le humer le boire le
lécher et l' embrassa avec plus de fougue .
Par cette manifestation d' amour si spontanée , Jean laissa échapper un gémissement de contentement et de réel plaisir ; alors Jean s'empar ...

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