Cette histoire s'est passé récemment sur un lieu proche de Grenoble où j’habite.
De retour de quelques jours de vacances cet été, je m'arrêtai a l'aire de L’île rose, que je ne connaissais pas vraiment alors qu’elle est à 12 km de chez moi seulement.
C’était une fin de journée, vers 19h. J’avais co-voituré avec des amis et déposé le dernier quelques km avant. Venant de passer 6 jours en groupe, chambre partagée etc… je n’avais pas eu l’occasion ni de me branler ni de baiser : mes couilles étaient pleines, comme on dit… et j’étais enfin seul dans ma voiture !

Quelques temps auparavant, j'avais lu sur ce site que c'était une des dernières aires avec des toilettes « à l’ancienne ». En effet, je ne fut pas déçu. Non seulement il y avait deux urinoirs côte à côte sans séparation (ce qui devient en effet très rare), mais en plus le bâtiment des toilettes était vitré, et en entrant je pouvais voir à environ 30 mètres les camions en stationnement ! C’était propre, ce qui est rare également. L’un des routiers était au volant, et vu de loin il me sembla qu’il regardait dans ma direction. J’étais seul dans le petit bâtiment, et après avoir pissé, je me tournai de trois quarts, et commençai à me masturber en regardant dans sa direction et montrant ostensiblement ma queue.

Je ne m'étais pas trompé. Au bout de quelques secondes, le routier descendit de son camion et se dirigea vers le bloc toilette. Un grand bonhomme, la cinquantaine, pas trop mal. Il se mit à l’urinoir à côté de moi et sortit son engin, déjà de belle taille. La complicité fut rapide. Nouveau bonheur : il y avait à côté une grand cabine handicapée, également assez propre.

Nous entrâmes tous deux en faisant attention de ne pas être repérés. Fidèle à mes bonnes pratiques de suceuse, je me m’assis sur la lunette et commençai à entreprendre sa jolie queue avec ma bouche tout en le caressant. Il était chaud…
« Mon pauvre, tes couilles sont pleines, lui dis je…
- Oui, dit il dans un souffle
- Tu veux m’enculer ?
- Non
- Alors tu pourras m’arroser à la fin ?
- Oui.. »

Vu son excitation, il ne parvenait à s’exprimer que par monos ...

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