Il y a de plus en plus de jeux coquins dans les sex-shops.
Pour ma part, j'ai vécu une aventure très coquine avec un simple monopoly!
Nous partagions un gite pendant un week-end à la campagne avec un autre couple, Cassandra et Bertrand, Lucie dont le chéri a dû rester au boulot, et ma chérie du moment, Anne.
Les prénoms ont été changés, pour protéger les coupables de ce détournement de franchise...
Après le repas du soir, nous sommes coincés à l'intérieur par le temps épouvantable. Il n'y a que ce jeu de société qui traine dans les placards, nous nous disons qu'avec le vin restant, ce sera amusant.
Au bout d'une demi-heure, Bertrand fatigue et veut se coucher. Cassandra le suit à contrecœur; elle s'amusait, mais bon...
Je me retrouve à faire la banque, et voudrait m'isoler avec ma chérie qui m'a chauffé toute la journée, mais avec Lucie, elles sont lancées dans une guerre immobilière sans merci. Zut!
A trois, les langues se délient. Les filles ont parlé de cul toute la journée, et débarrassés de Bertrand qui ne parle que de son boulot, l'ambiance devient même cochonne.
Lucie est une belle femme, sportive et fine, des fesses rondes et une poitrine pas trop grosse, mais dont les tétons pointaient jusqu'à déformer son top en néoprène.
Anne finit son tour sur la rue de la paix; Lucie réclame son dû.
"Aller, 5000 balles ma puce!"
"S'il te plait, fait moi un prix." implore ma chérie.
"OK, alors je veux ta petite culotte!"
Je crois à une de leur blague, mais Anne se lève, s'isole dans les WC, et revient triomphante avec sa culotte blanche, qu'elle tend à Lucie.
"Mh, tu ne mentais pas: la rando, ça t'excite!" dit elle en la reniflant.
Les filles rigolent, et la partie continue. Anne joue de malchance, et tombe chez moi, à Vaugirard bien achalandé.
"Oh, chéri, sois gentil!"
"Aller, un baiser et file."
Elle m'embrasse langoureusement, comme jamais en public. Je bande direct et commence à me dire que la soirée va bien se passer quand je vois que Lucie nous regarde avec envie.
Elle tombe alors rue Belleville (j'adore les petits quartiers!)
"Je peux te payer en bisous moi aussi ?"
Je croise le regard amusé de ma belle, qui consent en riant.
Je m'attendais à un baiser timide, mais sa langue cherche immédiatement la mienne. Le goût de l'interdit m'excite encore plus, je vais jusqu'à lui caresser la joue, et elle me mordille la lèvre.
Anne nous interrompt au bout d'une minute:
"Hé oh, il y a qu'un hôtel quand même!"
Nous recommençons. Les filles ont le chic de faire comme si de rien n'était, jusqu'à l'heure des marchandages.
Lucie veut ma gare Montparnasse.
"OK, 50 000."
"T'es fou! Espèce de rapace!"
"Bon, alors montre nous tes seins, et je te la donne."
Lucie se lève, retire doucement son T-shirt. Dessous, ses petits seins tout rond sont déjà au garde à vous. Elle a l'air plus libérée d'un coup, et proteste:
"Mais Anne en profite pour rien, c'est pas du jeu!"
Ma chérie a toujours été très coquine, et opportuniste.
"Tu me donnes Foch, et je montre les miens."
Ni une, ni deux, son 95E jaillit de sous son pull.
"Je... Vais chercher d'autres buches pour le poêle..." dis je intimidé.
Lorsque je revient, la chaleur à augmenté sans moi. Les belles ont manigancé quelque chose.
"Chéri, on se disait que c'était triste ces beaux quartiers sans maisons."
"On voudrait en parler au banquier." ajoute Lucie avec malice.
J'ai à peine le temps de réfléchir, qu'Anne s'assit sur mes cuisses et m'expose ses seins lourds sous le nez.
"Régale toi, mon chéri. Pendant ce temps, je construit."
Moi, c'est la tour de Babel que j'érige dans mon pantalon. Au tour de Lucie, j'ai droit à ses merveilleux tétons que je doit aspirer, mordiller selon ses désirs. Quand elle en a assez, le plateau est garni de maisons et d'hôtels; les garces m'ont bien eut.
Pourtant, Lucie retombe dans mes pièges, et se retrouve sans le sou.
"Je veux bien te proposer un prêt, si tu me suces."
Je n'ai pas débandé de la partie, et elle a du mal à retirer mon pantalon. Elle a un style différent de ma chérie, avec de bons coups de langue pointus sous le gland, dans mon urètre. Elle me suce lentement en gémissant.
"Alors, elle te plait?" demande Anne qui n'en manque pas une miette.
"Mh, j'adore son gland. T'avais raison, il a un bon calibre!"
"je te donne 100 000 balles si tu me lèche les couilles."
Elle s'exécute avec délice, ce qui fait rire Anne.
"Han, mais quelle petite pute!"
J'agite les billets sous son nez pour lui dire qu'elle peut arrêter, Lucie les prends en tirant la langue.
"A bas le capitalisme!" dit elle en faisant rebondir ses seins.
Ma stratégie fonctionne encore, Anne me doit une fortune en loyer.
"Aller, une pipe et on en parle plus, mon chéri!"
"Tu me dois 200 000, il va falloir passer à la casserole."
Je lui demande de relever sa jupe, vu que je sais que dessous, il n'y a plus rien. Je l'installe sur mes genoux, de dos, elle se cambre jusqu'à ce que ses seins frôle la table.
"Attention, pas de démolition, grosse cochonne!" rigole Lucie.
Je lui glisse mon gland entre ses lèvres gorgées de jus, elle s'appuie sur moi en se retenant de couiner. Je la tiens par les aisselles, l'exhibant un peu plus. Elle est cambrée à l'extrême, et glisse à merveille sur mon chibre. C'est un délice, pourtant je lui dit d'arrêter au bout d'une minute.
< ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur