Il y a quelques mois, au début de l'été dernier, j'avais pris l'habitude d'aller marcher dans une forêt, dans la plaine. Le coin est sympa, abrité de la chaleur excessive, une petite rivière pour se rafraîchir, bref, l'idéal par les chaudes journées du mois de juin.
Un jour, alors que je me trouvais sur le chemin principal, je croise un couple d'une cinqauantaine d'années, nous nous saluons et continuons notre route mais à peine ai-je fait quelques mètres que l'homme m' interpellé et me demande si je connais bien le coin. Il me dit qu'avec son épouse il sont sur la région depuis quelques mois seulement et qu'ils cherchent des endroits comme celui-ci pour faire des promenades. Il me d'amande également si je viens souvent me promener ici. Je lui répond que je vient régulièrement les dimanches en fin d'après midi en raison de la chaleur mais aussi parce qu'il y a moins de monde. Il s'est rapproché de moi et madame est resté en retrait mais me regarde avec insistance. Le mari m'indique qu'ils viennent eux aussi souvent dans le coin et me dit;

- Bonne journée et au plaisir de vous croiser dans un chemin un de ces jours.

Je reprends ma marche en direction de ma voirutre mais sa dernière phrase ainsi que les regards insistants de son épouse tournent dans ma tête. Je me dis qu'il s'agit juste d'un couple sympa et ouvert sans rien de plus mais cette phrase au plaisir de vous croiser sonne comme une proposition cachée.
Je me dis que je suis le roi des abrutis mais je ne me vois pas retourner dans la forêt et les chercher, je passerai pour un bouffon ou pire pour un détraqué si je me suis trompé sur l'interprétation de sa phrase.
Je décide donc de partir mais me promet de revenir le dimanche suivant., ce qui je fais.

je stationne mon véhicule sur la route entre l'entrée du chemin et la direction de la commune ou le mari m'a indiqué qu'ils s'étaient installé et j'attends. À peine dix minutes plus tard, je vois passer le couple, je sors de mon véhicule à ce moment précis et leur adresse un geste. Madame me fais un signe avec un large sourire en disant bonjour et son mari me dit simplement:

- peut-être nous croisetons-nous cette fois.

Je me dis que je ne m'étais pas trompé. Je prends rapidement mon sac dans le coffre et commence à marcher à quelques dizaines de mètre du couple. Monsieur se retourne de temps à autre. Ils bifurquent rapidement sur un chemin plus petit qui monte sur le côté. je prends la même direction, monsieur regarde toujours de temps à autres. Madame porte une robe d'été, très colorée, c'est une joli blonde, pas très grande, mince, à cheveux longs. Le mari, comme pour m'encourager à les suivre, prend sa femme par la taille et caresse ses fesses tout en marchant. Après quelques minutes, il sortent du chemin et rejoignent une petite clairière isolée, je m'avance et reste à bonne distance, après tout, madame n'est peut être pas sur la même longueur d'onde que son homme.
Je les observe et voit que r ...

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