Surpris par ma femme alors que j’envoyais un texto très hot à un homme, lui proposant même de lui être entièrement soumis, je suis particulièrement embarrassé et subis l’assaut de Marie.
Elle m’insulte longuement et part dans sa chambre pour téléphoner à son ami.

Celui-ci lui propose un scénario, m’expliquera-t-elle un peu plus tard : il adorerait sodomiser ma femme, mais celle-ci le lui refuse, alors pourquoi ne pas s’occuper de mon cul (un bon cul de cocu !).

Enfin calmée, Marie revient et me met au défi de me soumettre à elle mais aussi, et surtout, à son amant.
Après cette longue discussion avec lui, elle me propose, par bravade, et si je veux être en partie pardonné, de me soumettre dès le lendemain à son amant, sans possibilité de refuser quoi que ce soit, et d’assister à ses ébats avec son copain : être juste leur soumis !

Un dimanche plus tard, ma femme sort de sa chambre en tenue particulièrement sexy et bien maquillée.
« Va prendre une douche, on va faire un tour. »
Message reçu, je me prépare donc rapidement, plutôt excité mais avec une pointe d’anxiété.
« Sors la voiture, on va chez mon ami… tu vas pouvoir servir un homme, un vrai ! »

Arrivé chez lui, ma femme entre sans frapper et, dès la porte ouverte, embrasse goulûment son amant.
Avec juste un peignoir sur lui, il lui caresse la poitrine, puis, la prenant par la main, il l’entraîne rapidement vers le canapé-lit du salon.
« À poil ! » me lance ma femme.
Son amant surenchérit :
« Et vite, je vais m’occuper de toi, cocu. »

Marie a les yeux qui brillent, me regarde me soumettre et se laisse faire par son amant qui, vite fait, caresse ses jambes gainées de bas noirs et passe ses mains sous la minirobe panthère de Marie, qui semble franchement apprécier de se faire peloter devant moi, pendant que, déjà humilié, je quitte mes vêtements.
« Alors, c’est avec toi que Marie est mariée… approche tapette… viens caresser un homme. »

Une fois déshabillé, pendant qu’il tripote ma femme, je m’assieds sur le bord du canapé-lit et caresse le sexe de ce mâle dominant, déjà entièrement à sa merci, attendant les ordres.
L’homme s’allonge, attire ma femme à lui, enlève la petite culotte de Marie qui me regarde avec un air de défi et s’approche de lui, offerte en relevant sa robe, montrant ainsi sa chatte que je devine déjà humide.
S’adressant à elle :
« Viens te mettre au-dessus de mon visage. »

De suite, il bouffe la chatte de Marie, qui est venue se placer au-dessus de son visage, s’arrêtant juste pour m’ordonner de sucer sa queue.
« Approche-toi et suce-moi, cocu ! »

Peu enclin à me faire de nouveau engueuler, je commence à le sucer avec prudence.
Pas assez motivé à son goût, il me met une claque. Méprisant, il m’ordonne :
« Je n’en ai pas fini avec toi, pédale… pompe-moi à fond. »
Et sur ce, il repart lécher la chatte de Marie.

La langue de monsieur s’active sur le clito de ma femme, s’arrête un instant pour me prendre la tête entre ses mains afin que je reste en place, avec sa bite qui durcit dans ma grande bouche avide de bites.
Il enchaîne :
« N’arrête pas… continue de me sucer… j’adore les pipes, surtout là, quand c’est la bouche du cocu !… regarde-le, comme il aime la bite, le cocu. »

Je n’ai pas longtemps à pomper. Abandonnant le minou de ma femme, l’amant demande à Marie :
« Alors, ma chérie, tu n’as pas envie de me voir trouer le cul de ta fiotte de mari ? »

Marie ne répond pas, mais ses yeux pétillent. Elle savoure ce moment de vengeance !
Son amant se lève, s’empare de mes hanches, me retourne avec une certaine brutalité.
Il en profite, sachant que je dois lui être totalement soumis, et je me retrouve rapidement à quatre pattes sur le canapé-lit, le cul bien tendu, la tête dans les coussins, m’obligeant à rester ainsi exposé sans pudeur, mes fesses bien écartées.
« Donne-moi un préservatif et du lubrifiant que j’encule ton cocu de mari ! »

Marie s’empresse de mettre une capote sur cette bite de belle taille, bien droite.
Puis, elle la guide, d’une main sûre, vers ma rondelle, en mettant heureusement du gel sur la belle bite de son amant.
« Je préfère le beau petit cul de ta femme, mais après tout, sans poil, le tien peut faire illusion… montre que tu es une grosse salope… écarte bien ! »

Le gars place sa queue contre mon anus et, d’un grand coup de rein, l’enfonce entièrement en moi. Heureusement que j’avais la rondelle bien lubrifiée avant mon départ et que j’écarte maintenant largement mes fesses avec mes mains.
Je supporte tant bien que mal la douleur que me procure cette sodomie brutale, mais je ne peux leur offrir la joie de m’entendre crier ma souffrance, qui, d’ailleurs, s’estompe rapidement dès qu’il com ...

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