Ce récit a été noté : 3.5 / 4

 
( 0 = histoire nulle   4 = histoire TOP )


Ajouter à ma liste
Rencontres rapides, hélas éphémères

Publié par : bocucul le 21/04/2018

Il y a peu, je me rends sur l’un de mes parkings autoroutiers préférés, là où l’on y fait constamment de très belles rencontres, hélas éphémères. Ce samedi fin de matinée je m’attends à peu de succès. Comme à mon habitude (je me répète, mais je suis toujours très légèrement vêtu, nu sous mon short, ou pantalon jogging, tee shirt, et cockring très serrant en place). Y arrivé, je me gare 10 m derrière une voiture, déjà stationnée en l’endroit le plus propice. Oui, l’emplacement indique votre inclinaison !! Personne de visible à l’intérieur, 2 voitures et 1 camion, en presque sortie, bien trop loin de cet endroit, donc pas de crainte a avoir d’eux !
Avant de me dévoiler, j’observe les alentours et environs immédiats. Je constate alors un mouvement dans le petit chemin qui serpente dans les fourrés, un homme y musarde, revenant sur ses pas il fait mime de se frotter la baguette. S’avance à l’orée des buissons et répète ostensiblement son geste. Signal ! Un habitué qui cherche. Je saisi alors mes clefs et sort de voiture pour me diriger vers les fourrés. Lui aussi s’enfonçant plus profond afin d’être moins visible du parking, déballe un très bel anaconda. Je baisse l’élastique de mon short pour m’exhiber pareil. L’on se rapproche, mate et se soupèse mutuellement le matos. Je laisse mon short glisser discrètement à mes pieds, et relève alors mon tee shirt, plus pour montrer ma nudité, imberbe total, mais également pour me triturer les tétons. Faisant ça, cela indique de façon certaine, ma disponibilité et soumission à venir. L’homme 45-50 ans, le constatant dit : « je vois que t’aime ça, t’exhiber !, non ? » je réponds oui d’un signe de tête. « Enlève tout alors, que je te voie bien à nu, rien à craindre ici, il n’y a personnes »
J’obtempère, dégage les pieds du short et enlève mon polo, pendant qu’il baisse son pantalon. A genoux et suce-moi, ordonne t-il ensuite. J’ai peine à ouvrir la bouche pour prendre son chibre en entier, tellement son gland est gros. D’une main sur la tête, il m’encourage. Je m’applique et fini par plonger à culée. Il sent bon, rasé de frais. Je ne vois pas, mais j’entends une voiture arriver sur le parking, et une portière claquer. Mon sucé ne bronche pas et ne cherche pas non plus à s’enfuir. Il ne doit donc pas y avoir du danger, genre tuniques bleues ou au ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite


Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay