Petit résumé de la partie 1…
Nous sommes en mai, avec un soleil anormalement généreux pour la saison. J’espère que ce ne sont pas les effets du réchauffement climatique ! J’avais posé une après-midi de congé et j’ai pris la décision de faire une halte, sur le chemin du retour, sur une petite plage d’un grand lac, plage officiellement naturiste, pas très facile d’accès et seulement pour les initiés car la signalétique est bien sommaire. Une certitude, il y aura très peu de monde en semaine et à cette période de l’année. Effectivement, deux ou trois voitures seulement et personne sur la plage lorsque je m’installe. Personne ? Si, une silhouette masculine bien engageante pour moi et, même si j’apprécie la solitude, surtout dans un bel écrin de nature, je ne suis pas contre une charmante compagnie…
-------------------
Je suis maintenant à moins de deux mètres de ce garçon qui est, même de près, très à mon goût. Je ne sais pas s’il a choisi avec attention le tronc de l’arbre auquel il est adossé mais, c’est vraiment à son avantage. Le soleil baigne son corps pour le plus grand plaisir de mes yeux. La beauté est très subjective mais je peux le qualifier de très beau pour moi. Non, ce n’est pas un gars bien planté, type bûcheron canadien ni un grand gaillard irlandais. Pas très grand, très fin, une musculature discrète sans doute simplement liée à la pratique d’activités de plein air. Ses boucles sont parsemées de cheveux blancs donnant un ensemble cendré. Petite barbe un peu clairsemée qui encadre une bouche charnue. Des yeux clairs et doux et visiblement un sourire qui montre que cet étudiant un peu attardé, bohème, n’est pas farouche à mon approche. Un furtif regard sur son anatomie la plus intime. Sa verge est de taille normale si la normalité existe en la matière. Les veines sont apparentes sans doute en raison du désir qui filtre dans son corps. Le prépuce est court et dévoile une partie du gland aux proportions agréables. Visiblement, monsieur respecte dame Nature et ne s’embarrasse pas avec l’épilation. Son pubis affiche les petites boucles de sa pilosité modérée.
Je suis maintenant à 50 centimètres de mon compagnon imprévu. Il serait temps de dire un mot pour rompre un peu le silence. Un bien banal « Salut » sort de ma bouche auquel il répond « Bonjour » avec un sourire plus net. Inutile de lui demander si ma proximité est pour lui déplaire. Contrairement à Pinocchio qui voit son nez s’allonger lorsqu’il ment, ce gars ne pourrait pas me faire croire qu’il préfèrerait que je le laisse tranquille et qu’il n’a pas envie de ce rapprochement. Oui, son membre qui s’allonge ne serait pas synonyme de mensonge dans le cas présent ! LOL
Ma main s’approche pour se poser sur son torse. Sa peau est chaude et douce. Mes doigts glissent et épousent ses petites formes, jouent avec les boucles de sa pilosité, explorent progressivement son anatomie, son ventre, ses hanches… C’est très bon. Je relève un peu la tête pour m’approcher de sa bouche, j’ai très envie d’y poser un baiser. Je ne languis pas longtemps puisque ses lèvres viennent chercher les miennes. Un baiser doux mais puissant, langoureux et plutôt passionné. Et voilà que je sens ma serviette un peu maladroitement nouée autour de ma taille se détendre et tomber à nos pieds. C’est très bien d’ailleurs, je préfère être nu comme lui mais sans les chaussures de randonnées ! Nos corps peuvent donc se coller pour accompagner les baisers et les caresses.
Je propose d’aller se poser sur la plage, dans le petit coin douillet que j’ai choisi en arrivant, proposition qu’il accepte sans réserve hormis le fait qu’il ne dispose pas de serviette. Il m’explique faire un périple en VTT, sur plusieurs semaines, profitant d’un congé sans solde. C’est vraiment un garçon bohème, à l’image de son apparence !
Peu importe, mon drap de bain est plutôt grand et je ne suis pas mécontent de le partager avec ce gars décidément très plaisant à mes yeux et à tous mes sens d’ailleurs. Au moment de s’allonger sur la serviette, le garçon grimace visiblement sous l’effet d’une douleur. Il m’explique qu’il a dû se froisser un muscle dans une cuisse et que c’est plutôt inconfortable. Miracle, j’ai très souvent une huile de massage, spéciale « récupération sportive », dans mon sac de sport qui quitte rarement le coffre de ma voiture et qui est justement là, où j’ai glissé mes vêtements et autres objets utiles. Je dépose donc les gouttes de cette huile miraculeuse sur la cuisse endolorie. Je masse du bout des doigts la zone qu’il me désigne, d’abord timidement puis, petit à petit, avec plus d’application. Quel plaisir de pouvoir non seulement profiter de la vue de son corps étendu sur ma serviette et d’avoir le privilège de toucher ce corps. Les cercles de mes massages s’élargissent progressivement au-delà de la cuisse. Je monte jusqu’au petit pli charmant de sa fesse. Ses fesses, parlons-en. Elles sont plutôt petites mais toutes rondes à l’image du reste de sa morphologie. Je masse aussi le mollet, l’autre jambe, remonte sur les fesses que je peux prendre à pleines mains. Ses soupirs témoignent du plaisir partagé, sans aucun doute. Je caresse les reins, le dos, les épaules et la nuque. Je suis plutôt enclin à recevoir les massages mais là, je dois bien le reconnaître, c’est un grand plaisir de les pratiquer.
J’invite mon compagnon improvisé à se retourner pour poursuivre le massage s’il en est d’accord. Son sourire radieux est une réponse sans équivoque. Je constate d’ailleurs que son intimité est totalement en accord avec son sourire ! Je masse, caresse, me délecte de ses petits pectoraux toniques, de son ventre sensuel, de ce petit nombril trop mignon… Après avoir massé avec application ses jambes, je remonte vers l’aine, caresse le pubis et ne peux me détacher de sa verge posée sur son bas ventre. J’approche ma bouche ne voulant pas enduire ce beau membre d’huile dont le goût n’est peut-être pas des plus délicieux. Je pose mes lèvres sur son sexe et fait glisser ma bouche des bourses vers le gland. J’adore. Son souffle un peu saccadé est le signe d’une approbation un peu empressée d’ailleurs. J’entrouvre mes lèvres et prends son sexe dans la chaleur humide de ma bouche. D’abord lentement, puis de façon plus marquée. Sa verge glisse, ma langue la caresse, l’entoure, l’aspire. Je ne cherche pas la technicité. Je profite de ce plaisir et je sens ses doigts qui caressent mes cheveux, signe que le gars n’est pas trop mal. Ces caresses continues varient, sont entrecoupées de baisers sur le ventre, les cuisses, mes mains circulent un peu partout sur son corps et le garçon me caresse tout autant. Ses soupirs sont maintenant des râles de plaisir. Je ne veux pas précipiter les choses. J’abandonne la raideur de son vit pour remonter à sa bouche.
Délicatement, je l’incite à pivoter sur le ventre et m’i ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite