Quand j'avais décidé de rencontrer Douglas la première fois, tout était basique. Un simple plan dans ma caisse, sur un parking, sa queue dans ma bouche, et qu'il s'engouffre dans mon cul.
Je n'avais pas encore réalisé que j'ouvrais la boîte de Pandore. Sa queue, un peu trop grosse, avait du mal à rentrer dans mon cul encore un peu serré.
J'ai attendu deux ou trois jours avant de le revoir. Cette fois, le deal était différent : j'arrivais déjà bien préparé par un plan précédent. Henry, un retraité dominateur, m'avait travaillé pendant une heure. Musclé, massif, il m'avait écarté comme rarement. Bien rempli, je suis retourné voir Doug. Et dans ma caisse, il m'a pris avec une facilité impressionnante, comme s'il était attendu.
Doug avait bien compris comment me prendre, comment me lire. Comme l'avait fait Olivier en me prêsant à un ami d'enfance, m'humiliant devant lui (mais ceci est une autre histoire), Doug a joui en moi, avec une acuité certaine de ce que j'attendais sans le dire.
Après mes aventures dans les bassins d'Odessa, je ne me sentais à ma place qu'entouré de plusieurs queues. Doug savait qu'il pouvait me prêter, avec ou sans lui, que je n'avais plus de barrières sur ce plan. Il pouvait leur donner mon profil Twitter, je restais disponible à ses fantasmes. Et si tu lis ces lignes, toi aussi tu pourrais très bien faire partie du casting.
Ce soir-là, je n'étais pas vraiment prêt. Il m'a juste dit : « Sois à 21h, au XX rue Gallieni. »
J'avais tout organisé. Ma journée, mon lavement, mon plug. J'avais même mis un jockstrap pour me rappeler que j'étais attendu. Sur la route, j'étais déjà dur. Et excitable.
Je ne savais pas quel mec j'allais voir. Beau, moche, jeune ou plus âgé : ce n'était plus le sujet. J'avais choisi de ne pas choisir. J'étais là pour qu'on dispose.
Arrivé en bas, je lui écris. « Je suis là. Quelles consignes ? »
« En bas de l'escalier. Tu fermes ta gueule et tu obéis. »
Le ton était donné. J'entrais dans le rôle que j'avais appelé. Doug arrive. Il est noir, jeune, avec une queue monumentale. Il est accompagné d'un cinquantenaire, plus sec, plus discret. Il s'appelle Antoine. Je devine sa rigueur plus que son physique.
Dès l'entrée, Doug m'ordonne de me déshabiller. Je le fais. Je monte. Sur le lit, je découvre les accessoires : godes, pinces, fouets. Et je me souviens de ce que j'avais dit : « Faites ce que vous voulez. »
Plat ventre, Antoine est déjà en moi, à genoux, brutal et rythmé. Doug, derrière, me gère comme un terrain de jeu, enfonçant un gode au rythme des coups de reins. La scène est filmée. Je gémis, j'étou ...
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