J’avais 22 ans, et ma sexualité s’éveillait comme un volcan prêt à exploser. Curieux, affamé de sensations, je m’étais inscrit sur plusieurs sites gay, attiré par les mecs bien équipés, ceux dont les attributs promettaient des frissons intenses. Mes quelques expériences passées n’étaient que des amuse-bouches comparées à ce que je fantasmais : des rencontres brutes, charnelles, où je pourrais lâcher prise totalement.
Un soir, alors que je scrollais sur une appli, un message fait vibrer mon téléphone. Un certain Max, 30 ans, corps sculpté et regard de prédateur, m’écrit : « Salut, moi c’est Max, je suis en couple avec Léo. On cherche un passif bien chaud pour nous deux. T’es partant ? » Mon cœur s’emballe, mon imagination s’enflamme. Max m’envoie une photo : lui, brun, mâchoire carrée, torse musclé couvert d’un duvet sombre, et Léo, blond, un air de surfeur, abdos saillants et sourire carnassier. Ils posent côte à côte, leurs queues déjà à moitié dressées, l’une longue et veinée comme une arme affûtée, l’autre épaisse, massive, presque intimidante. Je réponds, fébrile : « OK, je viens. » Max m’envoie l’adresse d’un loft en centre-ville et ajoute : « Entre direct, on t’attend. »Je pousse la porte, l’adrénaline pulse dans mes veines. L’ambiance est tamisée, une lumière rouge baigne la pièce, et là, sur un grand canapé en cuir noir, Max et Léo m’attendent, complètement à poil. Leurs corps sont encore plus impressionnants en vrai : Max, large d’épaules, pecs bombés, une toison brune qui descend jusqu’à son pubis, sa queue longue et droite pointant fièrement vers le plafond.
Léo, plus fin mais tout aussi défini, a des cuisses de sportif et une bite si épaisse qu’elle semble défier les lois de la physique. Je sens mon sexe durcir instantanément sous mon jean.« Déshabille-toi, petit », grogne Max, sa voix rauque envoyant des frissons dans mon dos. Je me fous à poil en deux secondes, mes vêtements atterrissant en tas sur le sol. Mes 22 ans, mon corps lisse et musclé de jeune mec, mes fesses rebondies, tout ça semble leur plaire. Léo me mate avec un sourire en coin, caressant lentement son monstre. « À quatre pattes, maintenant », ordonne-t-il. Je m’exécute, mon cul en l’air, ma bouche déjà entrouverte, prêt à plonger dans ce fantasme devenu réalité.
Je m’approche de Max, agenouillé devant lui, et sa queue longue et dure frôle mes lèvres. Je la prends en bouche, lentement d’abord, savourant sa chaleur, sa texture soyeuse, les veines qui pulsent sous ma langue. Je le suce avec application, enfonçant sa verge jusqu’à ce que mes lèvres touchent son pubis, son odeur musquée m’enivrant. Pendant ce temps, Léo se lève, sa bite massive dans la main, et commence à me taquiner, tapant son gland lourd contre mes joues, mon menton, mes lèvres déjà occupées. « Ouvre grand, salope », murmure-t-il, et avant que je puisse répondre, il glisse son engin dans ma bouche, forçant l’entrée aux côtés de celui de Max. Deux queues énormes, l’une longue, l’autre épaisse, remplissent ma bouche à m’en faire gémir. Je bave, je suce, je m’applique comme une chienne en chaleur, mes mains agrippant leurs cuisses musclées pour garder l’équilibre.
Leurs grognements rauques emplissent la pièce, et moi, je suis au paradis.Léo se retire et passe derrière moi. Je sens ses mains puissantes écarter mes fesses, exposant mon anus serré à l’air frais. « Putain, quel cul », grogne-t-il avant de plonger sa langue dedans. Sa barbe de trois jours râpe contre ma peau sensible, et sa langue, chaude et experte, s’enfonce profondément, léchant, sondant, dilatant mon trou avec une voracité qui me fait gémir autour de la bite de Max. Léo écarte mes fesses encore plus, ses doigts s’enfonçant dans ma chair, et je sens mon anus s’ouvrir, offert, prêt à tout. « T’es déjà bien ouvert, toi », ricane-t-il, avant de cracher directement dans mon cul, sa salive chaude coulant sur ma raie. Je perds la tête, mes hanches ondulent malgré moi, réclamant plus.Max, toujours dans ma bouche, me tient la tête à deux mains et commence à baiser ma gorge, ses coups de reins profonds et réguliers. « T’aimes ça, hein, sucer une grosse queue pendant qu’on te bouffe le cul ? » Je ne peux que gémir en réponse, ma bite dure comme jamais, dégoulinante de liquide pré-séminal.
Léo, derrière, enfonce deux doigts dans mon anus, lubrifiés par sa salive, et commence à me doigter lentement, étirant mon trou avec une précision diabolique. « T’es prêt à te faire démonter », murmure-t-il, et je sens son gland énorme se poser contre mon entrée.Mais là, je panique un peu. Sa queue est monstrueuse, bien plus large que tout ce que j’ai pris jusque-là. « Attends, Léo, t’es trop gros, j’ai peur que ça passe pas », dis-je, la voix tremblante. Il rit, un rire grave et sexy. « T’inquiète, on va y aller doucement… pour l’instant. » Max, lui, me caresse les cheveux et murmure : « Laisse-toi faire, tu vas kiffer. » Mais je tiens bon, pas encore prêt pour ce calibre. Léo hausse les épaules, un sourire malicieux aux lèvres, et revient devant moi. « OK, alors tu vas nous finir à la bouche, et t’as intérêt à avaler. »Ils se placent tous les deux deva ...
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