Dès mon premier entretien d'embauche, en me présentant à l'accueil j'avais plongé mon regard dans son décolleté. Il était difficile de le rater car même le soutien gorge était visible, à l'époque ça faisait limite vulgaire pour une femme d'une petite cinquantaine.
Mon bureau était juxtaposé à l'accueil, mais je le partageais avec 2 collègues.
Nicole était une blonde d'environ 1m65,fortement maquillée, toujours en tailleur, un petit cul et une paire de seins volumineux qui débordaient volontairement d'un corsage déboutonné. D'entrée je demandais aux collègues " elle a l'air chaude mamie !"
" pas du tout, au contraire, tu verras, dès qu'on parle de cul elle nous rembarre ".
Il ne fallu pas plus de 5 minutes pour en avoir la preuve. Nicole nous apportait un dossier qu'elle venait de taper, Bernard dans la boite comme elle depuis 25 ans lui lança " Nicole, tu sais que tes seins me rendent dingue, pourquoi tu gardes un sous tif de cette chaleur ?"
Elle répondit du tac au tac " tu n'en verras jamais plus, j'ai déjà un vieux de ton genre à la maison, mon truc c'est les petits jeunes " dit elle en me faisant un clin d'œil. Tout en faisant, elle s'était bien penchée pour déposer le dossier et ainsi nous offrir une vue encore plus profonde de son décolleté. Ses seins bien que lourds semblaient bien fermes.
Les collègues furent étonnés, une fois la porte fermée derrière le cul de Nicole, Bernard s'adressa à François, l'autre ancien du bureau " je l'avais jamais vue comme ça la Nicole, il lui a tapé dans l'œil le nouveau."
J'étais gêné et la chaleur m'avait monté aux joues, pas par timidité mais par surprise.
"ça pourrait être ma mère les gars "
J'avais une copine, encore étudiante à 300 km , que je ne voyais plus que le week-end.
Les jours passèrent et j'avais remarqué que les regards et sourires de notre hôtesse d'accueil étaient plus appuyés quand mes compères étaient présents, mais lors de nos tête à tête, elle restait distante et professionnelle. J'en avais conclu qu'elle voulait provoquer et frustrer Bernard qui, il ne passait pas une journée sans le dire " aurait bien glisser sa bite entre ses seins ".
Souvent en déplacement, j'étais peu présent au bureau.
Hors fin mai j'avais un dossier à préparer avec Nicole. Bernard et François étaient absents car ils soldaient leurs congés.
Ce lundi matin, je commençais les corrections, elle se tenait en face de moi, un chemisier plus transparent que jamais, je me surpris à bander. C'était cassé avec ma copine, je n'avais as baisé depuis 3 semaines.
Une collègue passa, en coup de vent, pour lui souhaiter son anniversaire.
La porte refermée,je sautais sur l'occasion " pour votre anniversaire, je vous embrasse Nicole " ( depuis mon embauche, je lui serrai la main pour lui dire bonjour ) et me levais pour lui faire la bise, elle se leva également avec un large sourire. J'avais à peine quitté ses joues qu'elle chuchota " merci, mais faire la bise n'est pas embrasser "
elle se rassis et ajouta " je blague"...mais elle rougissait.
Elle rassembla les feuilles et se leva avec mon dossier.
"Je vous le rapporte début d'après midi."
Elle m'avait troublé, je ne débandais pas. " vous pouvez rester en face de moi, vous serez plus tranquille."
Elle semblait troublée également et tenait la poignée de la porte sans l'ouvrir, je devais essayer de conclure, je quittais mon fauteuil et m'avançais " et puis je vous dois toujours un baiser ", elle ne pouvait reculer, j'approchais ma bouche de la sienne et y déposais un b ...

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