Fort de toute l’expérience que Vincent m’avait prodiguée, je faisais plus que mon âge et à 16 ans ma taille et mon développement me faisaient en paraître largement 18. Mon beau-père décida donc de m’emmener avec lui dans un sauna libertin. Si on ne me demandait pas ma carte d’identité à l’entrée, je devais pouvoir entrer sans problème. Le type à la caisse demanda mon âge. Du tac au tac, Vincent répondit 19 ! et paya deux entrées. La porte automatique s’ouvrit. J’étais dans les lieux. Inutile de préciser que l’arrivée d’un quarantenaire avec un petit jeune ne passa pas inaperçu. Dans les vestiaires, un couple, qui était arrivé peu avant nous, était en train de se déshabiller et nous dévisagea avec intérêt et curiosité. Une fois nus, Vincent au lieu de ceindre sa serviette autour de la taille, la posa sur son épaule et parti, fesses à l’air, vers le sauna. Je fis de même. Le couple nous emboîta le pas. Il n’y avait personne dans la cabine. Vincent s’allongea sur le gradin de bois le plus haut et ferma les yeux, totalement abandonné au plaisir que lui procurait la chaleur du lieu. Je m’assis sur la marche inférieure. Le couple vint s’asseoir près de moi. Une sorte de tension s’installa très vite dans le silence de la pièce surchauffée. Le monsieur posa la main sur la cuisse de sa femme et commença doucement à la caresser.
-Ça a l’air calme ce soir, lança-t-il soudain.
Vincent releva le buste et prit appui sur l’un de ses coudes.
-Ce n’est pas le nombre de clients qui est important, dit-il, mais leur qualité, non ?
L’homme approuva. Le message était passé. La main de Vincent se posa sur l’épaule de la jeune femme qui le laissa faire. Aussitôt, le mari intensifia sa caresse et monta plus haut sur la cuisse fuselée. La femme écarta insensiblement les jambes en me regardant. Ma main pris possession de son autre cuisse. Les jambes s’ouvrirent encore un peu plus. Vincent, désormais assis à l’arrière, pris à deux mains possession de seins. Ils étaient lourds, pleins et généreux. Les mamelons étaient cerclés de larges aréoles brunes. Il les malaxait avec douceur ce qui fit poindre les premiers soupirs chez notre jolie partenaire.
-Nous serions peut-être mieux en cabine, suggéra le mari.
D’un seul homme, nous nous levâmes et nous dirigeâmes vers un espace plus intime. Le monsieur choisit une pièce tout au fond du sauna qui possédait un grand matelas sur lequel nous pouvions facilement tenir à quatre. Pour y accéder nous avons dû traverser l’ensemble des lieux et c’est sous le regard envieux des autres clients que nous sommes allés nous enfermer dans notre alcôve.
-Vous êtes amis ? demanda la femme.
-Père et fils, répondit Vincent immédiatement.
Je ne le corrigeai pas trouvant que cela ajoutait une petite note perverse à la situation.
-Oh, ma chérie, c’est excitant de faire l’amour à la fois à un père et son fils, non ? Avec lequel vas-tu jouer en premier ?
Elle fit mine d’hésiter.
-Heum … Ils me plaisent tous les deux. Je pourrais les sucer ensemble pour pouvoir faire la comparaison.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Elle s’agenouilla sur le matelas et saisit nos deux bites déjà bien dressées. Sa bouche allait de l’une à l’autre et elle montra beaucoup de talent. L’expérience était manifestement au rendez-vous. Son mari pendant ce temps se plaça derrière elle et lui caressait la chatte. Le visage tout proche de celui de sa femme, il observait avec intérêt la fellation. Vincent comprit qu’il y avait de l’envie dans ce regard et dès que la femme le lâcha pour s’occuper de moi, il proposa son sexe à l’homme qui s’en saisit avec avidité. Vincent et moi étions maintenant côte à côte, face à notre suceur(se) respectif(ve). Il en profita, le coquin, pour me caresser le cul.
Lina aime qu’on la dévore, nous informa l’homme au bout d’un moment. La chatte et le cul. Elle a une moule terriblement goûteuse et un petit cul merveilleusement parfumé. Faites-lui plaisir, messieurs.
Vincent s’allongea sur le matelas et Lina vint s’installer au-dessus de lui pour lui offrir son petit abricot gourmand. Il me restait le petit trou. J’écartai donc ses jolies fesses pour découvrir le plus charmant anus qu’on puisse imaginer. A peine coloré, d’une rondeur presque parfaite, tous les plis convergeant vers l’antre central encore fermé. Tandis que la langue de Vincent travaillait déjà ardemment, je posai délicatement la mienne sur la partie qui m’était réservée. Malgré la fougue de ma jeunesse et l’envie de lui bouffer le cul avec voracité, je me retins et c’est tout en douceur que je lui prodiguai mes caresses. Ma langue montait en descendait tout le long du sillon fessier. Elle s’attardait sur la rosace, la titillait de son extrémité avant que mes lèvres l’aspirent, la suçottent. Le petit œillet se fit frémissant et j’enduisis bientôt mon majeur de salive. Je ne le fis pas entrer tout de suite mais m’en servis pour apporter de nouvelles caresses. Il glissait sur l’œil de chair, se faisant plus insistan ...
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