CHÂPITRE 3
- Vous vous rendez compte les mecs cette grande salope avait une grande gueule tout à l’heure, elle la ramène moins la connasse, maintenant elle sait ce que c’est qu’un vrai mec. Dit Robert
La position dans laquelle je suis est usante les bras en l’air et les talons décollés du sol, mes muscles se tétanisent et j’ai mal partout.
Les quatre cons continuent de picoler à quelques mètres de moi et se permettent des commentaires sur mon physique.
- Je vous en supplie ! Détachez-moi s’il vous plaît, j’ai trop mal ! Dis-je en sanglotant.
Le connard de Robert s’approche de moi, sort sa langue et la remue comme s’il allait me lécher, puis il éclate de rire et me pince très fort les tétons entre ses doigt, je hurle de douleur tellement il me pince fort.
La douleur est telle que je finis par perdre connaissance.
Quand je reprends mes esprits, je suis suspendue par les poignets et ce taré est en train de me mettre des claques pour me faire revenir à moi, il rit et comme il l’a déjà fait il me force à ouvrir la bouche et crache dedans.
Ce mec est un fou, un vrai sadique
Machinalement je lui crache au visage
Ce con éclate de rire et dit
- Tu ne peux pas savoir comment ça m’excite que tu me résistes grande salope.
Il retourne s’assoir et dit
- Jean elle est à toi, si tu veux t’amuser un peu, et puis nous ça va nous divertir.
Monsieur Muscle se lève, viens vers moi et me dit
- Tu t’es bien foutu de ma gueule, tu as bien rit, alors maintenant c’est mon tour, puis il enlève la ceinture de son pantalon et me fouette avec.
Chaque coup m’arrache des cris de douleur, et fait rire les autres qui s’amusent à compter, mais ça ne réveille pas Gégé qui continue de ronfler.
Quand la bande de pourri compte vingt, mon dos me brûle.
Jean arrête de frapper, je pense que mon supplice est fini mais il me dit.
- Attend un peu ma grosse, j’en ai pas fini avec toi, tu vas comprendre comment je m’appelle, tu vas voir que je vais te faire passer l’envie de te foutre de ma gueule.
Je le vois aller prendre le tuteur en Bambou dans la plante de l’entrée, il va le passer sous le robinet et revient en brandissant son trophée d’environ 1 mètre.
Vous voulez la voir danser les mecs ? Demande-t-il à sa bande de copains.
- Bien sûr que oui. Répondent-t-ils en cœur
- Tout à l’heure tu vas danser pour nous ma grosse. Me dit-il
Le premier coup de baguette frappe violemment mes fesses me faisant hurler de douleur, vingt fois de suite il recommence, les autres rient de me voir ainsi maltraitée, ils s’amusent à compter à voix haute le nombre de coup qui cinglent mon postérieur.
- Ce sadique annonce
- Et maintenant place à la danse
Il recommence à me frapper mais cette fois derrière les cuisses, ça me fait tellement mal que je saute d’un pied sur l’autre, ce qui fait éclater de rire tous cette bande de débiles qui recommence à compter.
Je pleure à chaude larmes, je n’en peux plus, mes bras me font mal, mon dos me brûle, mes cuisses aussi, et j’ai mal aux pieds à force d’être quasiment sur la pointe.
Quand les autres cons comptent à nouveau vingt, je n’en peux plus.
Je pense que ce sadique a fini de me faire souffrir, mais il n’en est rien.
Les coups reprennent de plus belle pour cette fois frapper mes mollets qui reçoivent les coups ...
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