Je suis seul ce midi dans cette ville, avec un peu de temps à tuer... et des envies de sexe qui me viennent à l'esprit (et pas qu'à l'esprit), de plus en plus pressantes... L'orage qui vient de s'abattre a rafraîchi l'atmosphère mais n'incite pas à courir les champs ni les forêts. Pourquoi ne pas essayer ce sex-shop, pas loin de la gare, où je trouverai peut-être un peu de compagnie histoire de passer de bons moments ! C'est dans une petite rue discrète que je le trouve ; je pousse la porte et au lieu de l'habituel vieux grognon qui officie souvent dans ce genre d'endroit, c'est un charmant jeune homme m'accueille avec le sourire (j'aimerais bien qu'il verrouille la porte d'entrée pour faire connaissance plus intimement, mais son professionnalisme le retient, dommage).



Je prends une entrée pour la partie cinéma, il me donne la carte qui me permettra de visionner les vidéos et de zapper d'une cabine à l'autre en chasse d'une proie... Déception, le zone vidéo est presque vide, seul un vieux s'est enfermé dans sa cabine et se branle en solitaire. C'est vrai qu'il est encore tôt. Je m'installe de mon côté pour passer en revue les films à l'affiche. Pas de chef-d'œuvre du 7ème art, comme prévu, mais de quoi émoustiller le spectateur, du porno hétéro pur et dur en passant par des pseudo-lesbiennes jusqu’aux films bi et gays. Il est vrai qu'il en faut pour tous les goûts et les petits machos peuvent se donner bonne conscience lorsqu'ils prennent leur pied en se faisant sucer par un pédé (ou vice-versa) puisque ce sont des nanas sur l’écran. Je zappe plusieurs vidéos de petits minets bien mignons, et me fixe sur des petites racailles anglaises en joggings qui se sucent et s'enculent jusqu'à plus soif... appétissants pour une mise en bouche... De chaque côté de ma cabine, un glory-hole cerclé de rouge me tend les bras (si je puis dire), mais personne en vue de l'autre côté du trou.



Je décide d'aller faire un tour dans le labyrinthe, les portes des cabines se suivent, attendant le client. Au fond, une petite pièce sombre propice aux rencontres discrètes… mais personne. Je reviens bredouille, quand au détour d’un couloir je manque de me heurter à un petit jeune qui vient sans doute d’arriver… brun, pas très grand, la vingtaine à peine, un air de premier communiant, une vision de rêve ! Je me retourne, non, c’est bien la réalité, son petit cul moulé dans un jean noir m'interpelle avant de disparaître dans sa cabine… J’ai à peine entraperçu son regard, mais j’ai eu l’impression qu’il était discrètement ravi d’avoir de la compagnie… en tout cas j’en accepte l’illusion.



Je m’installe dans la cabine voisine, précautionneusement, espérant que le petit oiseau ne soit pas effarouché ! Il est bien là, à travers le glory-hole je me risque à admirer la belle bosse qui commence à se former sous le jean. C’est peut-être la première fois qu’il se risque dans un tel endroit, en tout cas il semble hypnotisé par les deux jeunes militaires qui sur son écran s’enculent dans leur uniforme viril. Je profite du spectacle, il n’a pas pu ne pas s’en apercevoir mais ça ne semble pas le déranger, on dirait même que ça l’excite encore plus que je le mate. Je risque ma main pour venir le caresser son jean, il se laisse faire, c’est bon signe ! Il défait ceinture et braguette, il était temps de libérer sa bite maintenant en pleine forme.



Je branle sa queue doucement, ses soupirs m’encouragent, il apprécie ! Je retire mon bras et approche ma bouche du glory-hole. Il comprend l’invitation et bientôt son bel engin se présente de l’autre côté de la paroi, je le prends en bouche, d’abord délicatement, puis de plus en plus goulûment… un vrai régal. Je le sens vibrer, il va jouir bientôt si je continue, ça doit faire longtemps qu’il n’a pas baisé et que ses jeunes hormones le travaillent… A présent qu’il est bien chaud, je me risque à le délaisser quelques instants pour sortir de ma cabine et aller frapper doucement à la sienne… il ouvre, un petit sourire timide en coin. La cabine n’est pas bien grande mais j’arrive à me caser entre ses jambes pour reprendre ma dégustation, alors qu’il s’est rassis et profite du double spectacle, celui du film et celui dont nous sommes maintenant les acteurs.



Maintenant que le mur ne nous sépare plus, ma main peut partir à l’aventure, tout en continuant à le pomper je caresse ses parties intimes, ses fesses, son torse, ses tétons, le jean est bientôt sur les chevilles et le tee-shirt envolé. Peut-être veut-il me rendre la pareille ? Apparemment pas, il profite à plein de l’avantage que l’attrait de sa jeunesse lui procure... Je pourrais être son père, il trouve naturel de me laisser faire son éducation, on dirait même qu'il est très concentré sur la leçon du jour... C’est aussi bien ainsi, je peux me consacrer tout entier à son plaisir et ça suffit largement au mien. Je l'entends gémir de plaisir, je ralentis le rythme de mes mouvements pour le laisser profiter de l'instant, l’extase n’en sera que plus délicieuse… Bientôt il prend ma tête entre ses mains comme pour me donner la cadence, il augmente l’amplitude de ses mouvements, je sens que le moment est venu et je resserre un peu mes lèvres, la pointe de ma langue lui titille la base du gland pendant que des mains je lui caresse les fesses et lui presse délicatement les couilles. Je le sens soudain se raidir, réprimer un râle et presser sa queue au fond de ma gorge, déversant cinq longues giclées de sperme que je contiens tant bien que mal dans ma bouche avant d’avaler ce précieux nectar de jeunesse au goût exquis…



Je continue de le sucer doucement pour accompagner ses dernières convulsions et déguster les dernière gouttes… Il reprend peu à peu ses esprits, on dirait qu’il ne regrette pas sa première expérience de sex-shop - même s’il paraît soudain rouge de honte d’avoir donné libre court à son excitation - en fait, sa première expérience avec un mec, comme je l’apprendrai plus tard… Il réalise que son train va partir quelques minutes plus tard et qu’il a à peine le temps de courir l’attraper, non sans accepter le papier que je lui tends avec mon numéro de téléphone, pour la suite de ses expériences, à son prochain voyage...




Je suis seul ce midi dans cette ville, avec un peu de temps à tuer... et des envies de sexe qui me viennent à l'esprit (et pas qu'à l'esprit), de plus en plus pressantes... L'orage qui vient de s'abattre a rafraîchi l'atmosphère mais n'incite pas à courir les champs ni les forêts. Pourquoi ne pas essayer ce sex-shop, pas loin de la gare, où je trouverai peut-être un peu de compagnie histoire de passer de bons moments ! C'est dans une petite rue discrète que je le trouve ; je pousse la porte et au lieu de l'habituel vieux grognon qui officie souvent dans ce genre d'endroit, c'est un charmant jeune homme m'accueille avec le sourire (j'aimerais bien qu'il verrouille la porte d'entrée pour faire connaissance plus intimement, mais son professionnalisme le retient, dommage).



Je prends une entrée pour la partie cinéma, il me donne la carte qui me permettra de visionner les vidéos et de zapper d'une cabine à l'autre en chasse d'une proie... Déception, le zone vidéo est presque vide, seul un vieux s'est enfermé dans sa cabine et se branle en solitaire. C'est vrai qu'il est encore tôt. Je m'installe de mon côté pour passer en revue les films à l'affiche. Pas de chef-d'œuvre du 7ème art, comme prévu, mais de quoi émoustiller le spectateur, du porno hétéro pur et dur en passant par des pseudo-lesbiennes jusqu’aux films bi et gays. Il est vrai qu'il en faut pour tous les goûts et les petits machos peuvent se donner bonne conscience lorsqu'ils prennent leur pied en se faisant sucer par un pédé (ou vice-versa) puisque ce sont des nanas sur l’écran. ...

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