Au printemps, avec l’éveil de la nature et les désirs qui vont avec, mais c’est aussi la déclaration fiscale.
Cette année, je n’ai pas voulu me compliquer la vie, je décidais donc de contacter mon banquier pour obtenir de l’aide de sa part.
Sans problème j’obtenais un rendez-vous avec toutefois un nouveau conseiller.
Pourquoi pas j’adore faire de nouvelle connaissance.
Pour être sûre que j’allais être bien conseillée, je me mis sur mon 31.
J’ai passé deux bonnes heures dans la salle de bains à m’apprêter.
Une bonne douche pour commencer avec un soin de la peau pour qu’elle soit douce et très légèrement parfumée.
Ensuite le maquillage fond de teint, puis les yeux pour souligner les sourcils les paupières et enfin les lèvres avec un gloss rouge vif.
La tenue le dernier élément, sans doute le plus important, je décidais aujourd’hui de jouer le grand jeu.
Un tailleur chic avec une jupe juste au-dessus du genou pour ne pas laisser trop apparaitre le porte jarretelles de dentelle noire sur lequel j’accrochais des bas noirs.
La veste de mon tailleur permettait d’offrir un généreux décolleté, mes seins maintenus dans un joli soutien-gorge coordonné aux porte-jarretelles.
Dans le miroir je constatais avec plaisir que j’allais certainement faire de l’effet à mon banquier, avec un tel décolleté.
Enfin je chaussais des escarpins à hauts talons pour avoir les reins cambrés et la croupe rebondie.
J’arriva à mon rendez-vous à l’heure.
Je fus reçue par un bel homme assez jeune et mince à la limite du freluquet.
A ma vue il ouvrit grand les yeux, à cet instant précis je savais que mon effet sur lui était sans équivoque.
Il signifia à ses collègues qu’il ne voulait être dérangé sous aucun prétexte.
Dans son bureau il me fit asseoir pour consulter les différents documents, je demandais quelques explications.
Il vint s’assoir à mes côtés.
Tout en me donnant des détails sur documents il posa une main sur mes genoux.
Tout en feignant de lire les documents, j’écartais doucement les cuisses l’invitant à poursuivre plus loin.
Sa main remonta jusqu’en haut des bas et vins directement au contact de ma peau en haut des cuisses Puis ses doigts atteignirent mon string qui contenait difficilement mon excitation.
Il ne fut pas surpris par ma véritable nature.
Je jetais un coup d’œil rapide vers son pantalon, satisfaite de l’effet que je produisais.
A mon tour je posais une main sur sa braguette, je sentais son capital grossir rapidement.
Avec dextérité, j’ouvris sa braguette pour libérer son patrimoine de son emprise.
Il se mit debout en face de moi je déboutonnais son pantalon le fit tomber sur ses che ...
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