Dans les années 80 j’étais étudiant dans une école sport étude et je cherchais un appartement pour quitter Meudon le domicile de mes parents afin de prendre enfin mon indépendance. Et un jour en lisant une annonce dans un journal j’ai vu qu’une femme de 65 ans recherchait un locataire dans son appartement parisien après le départ de son fils. Déjà au téléphone je trouvais cette femme fort- sympathique, elle me proposa de venir visiter pour le lendemain. Je me rendis donc au rendez-vous le lendemain et la dame m’accueillit comme un prince avec le café. C’était une femme encore très jolie pour son âge, encore mince, cheveux blond platine et comme nous étions en plein été elle portait une robe blanche décolletée et je remarquais évidemment une belle et grosse pair de seins. Nous discutâmes une bonne heure, de mes études de sports et elle me posait plein de questions sur les sports que j’étudiais, je lui répondis que j’aimais tous les sports et que j’avais l’intention de devenir prof de sport. Ensuite elle me raconta un peu sa vie, j’appris donc qu’elle était veuve depuis 10 ans et qu’elle avait une fille de 40 ans qui vivait en province, j’appris aussi qu’elle se sentait seule depuis le départ de son fils et qu’elle voulait un peu combler cette solitude. Ensuite elle me fit visiter son merveilleux 4 pièces de luxe, elle me présenta ma chambre et me fit bien comprendre que je pouvais venir emménager dès que possible, ensuite elle me montra la grande salle de bain, de toute ma vie je n’avais jamais vu une telle salle de bain, waouh impressionnant, pleins de miroirs partout, du marbre et une magnifique douche à l’italienne très grande pour deux personnes. Cet appartement me plaisait vraiment et j’étais moi aussi impatient de venir y vivre. Nous nous mimes d’accord pour le prix du loyer et je signais le contrat quelques minutes plus tard.
Une semaine plus tard j’emménageais donc dans ce magnifique appartement du 16e arrondissement de Paris, la bourgeoise était bien sur là pour m’accueillir, le premier jour elle avait encore une robe d’été très légère et très très décolletée encore……….cela ne me dérangeait bien au contraire et malgré ses 65 ans je trouvais cette femme encore très sexy et bandante mais j’étais loin d’imaginer ce qui va suivre, je devrais même dire à des années-lumière de l’imaginer. Rapidement je pris mes aises comme si j’étais chez moi et comme chez mes parents je n’hésitais pas à sortir nu de la douche pour aller jusqu’à ma chambre (sans serviette autour de la taille), mais là je devais faire attention car je vivais quand même avec une dame et je ne voulais pas la choquer par mes habitudes de vieux garçons. Tous les matins je faisais des pompes dans ma chambre, torse nu en boxer noir moulant, ensuite je faisais souvent un kata de karaté et des tractions, en effet le fils de la bourgeoise avait fait installer des bars dans sa chambre pour pouvoir faire des tractions abdominales, c’était sympa et j’en profitais bien. Un matin du mois d’aout je me rendis au salon pour le petit déjeuner et la dame était déjà installée à la table en train de tremper ses tartines, elle était en nuisette rose transparente et je ne me privais pas de bien la regarder de la tête aux pieds. Elle me fit un grand sourire et m’accueillit gentiment « Ah Laurent, viens installe toi j’ai fait le café et il y a du thé et du chocolat si tu veux, installe toi. » - « merci madame c’est gentil », « appelle moi Martine va, on est colloques et je préfère le tutoiement…. » « Bien madame » répondis-je encore un peu timide, mais je ne me privais pas de zyeuter sa poitrine.
Elle mangeait avec beaucoup de sensualité et je trouvais ça encore une fois, très très excitant, cette dame me plaisait décidément beaucoup, bien que nous ayons 40 ans d’écart. « Tu as fait un peu de sport dans ta chambre ? » me demanda-t-elle ? « oui m’dame j’adore ça le matin, ça fait du bien et ça réveille. » « euh je pourrais venir te regarder faire du sport un jour ? J’adore regarder les hommes faire du sport, c’est beau… » « Euh euh oui oui pourquoi pas » répondis-je un peu gêné. Et au bout d’une semaine de notre cohabitation un matin je l’entendis frapper à ma porte alors que je faisais des tractions. « Entrez ! » c’était elle évidemment et aussitôt elle me racontait que son fils adorait faire des tractions et qu’il avait fait installer ces barres uniquement pour ça. « je peux te regarder ça ne te gêne pas ? j’adorais regarder mon garçon faire ça il était beau et toi tu n’es pas mal non plus » « euh oui oui si vous voulez » j’étais tout de même un peu gêné car j’étais torse nu avec juste un boxer noir moulant et mon gros paquet était visible, il sautait même aux yeux et je dois avouer que devant cette inconnue c’était un peu embarrassant. Elle s’installa sur un fauteuil qui était là et me regardait en plein effort « c’est quand même beau un homme.» «Merci madame », « continue ça m’intéresse » je continuais donc mes tractions et au bout d’une bonne vingtaine de minutes elle se leva en vint vers moi et me fis un bisou dans le cou «continue » dit-elle…
Ce bisou eu pour effet de me faire bander et je ne pouvais rien dissimuler, ma grosse verge était visible sous mon boxer, elle devint vite à l’étroit malgré un boxer taille haute. La dame me caressait la poitrine pendant que je faisais les tractions, sa douce main passait sur mes abdominaux et elle aimait la laisser longtemps à cet endroit « Oh tu es bien musclé dis donc ! » du bout des doigts elle frôlait mon boxer, je bandais comme un taureau. Malgré mes 20 ans et mon beau physique j’étais encore puceau et cette dame me faisait un effet que je n’avais jamais connu avant. Je sentais ma verge se décalotter sous mon boxer et je sentais aussi une petit goutte sortir de mon gland et couler le long de mon prépuce. Son regard s’arrêtait de temps en temps sur cette énorme bosse. La douceur de ses mains me faisait vraiment un effet bœuf et à dire vrai je bandais comme un taureau. Au bout de quelque minute elle s’installa entre mes cuisses et fit doucement glisser mon boxer centimètres par centimètres vers le bas, mon énorme érection empêchait le boxer de descendre plus bas mais la dame ne se dégonfla pas et mon boxer passa très rapidement l’obstacle de ma verge raide. Mon pénis claqua d’un coup sec sur mon nombril lorsque la dame le libéra et elle ne put s’empêcher un petit cri «Ooh ». Mon boxer se retrouva donc sur mes chevilles et la dame me demandait encore une fois de continuer mes tractions. J’étais à la fois gêné et soulagé de ne plus avoir cette entrave autour de mon sexe, je pouvais donc bander sans gêne malgré le regard insistant de la dame. Je n’avais jamais bander comme ça en présence d’une femme et je me demandais naïvement comme elle allait réagir. Elle fit un nœud à mon boxer autour de mes chevilles, j’étais donc prisonnier, impossible de bouger les jambes. «Continue tes tractions biquet» Elle retourna s’installer dans le fauteuil et me regardait en plein effort et en pleine érection, au bout de quelques minutes elle me fit des compliments qui eurent pour effet de m’exciter encore plus. « tu es beau garçon tu sais, quel beau corps tu as, magnifique, j’adore tes abdominaux ils sont supers et ta jolie verge, quelle merveille je ne peux pas la lâcher des yeux, ça fait au moins dix ans que je n’ai pas vu un homme bandé tu sais et si tu le permets je vais te contempler ! Tu me le permets ? » « Euh euh oui oui m’dame mais c’est gênant vous savez » «Mais ne soit pas gêné mon grand, tu es beau tu sais, ta verge est MAGNIFIQUE, aucune femme au monde ne pourrait le nier, c’est une merveille de la nature tu sais, elle est magnifiquement bien proportionnée avec tes boules en plus, tes boules sont belles aussi et la gauche est un peu plus grosse que la droite, ton gland est une merveille lui aussi, il est humide c’est trop mignon et y a une petit goute qui coule….tu me laisses contempler ? »
« euh euh bah j’ai pas trop le choix m’dame » « quoi ça te gêne tu veux que je remonte le boxer ? Dis le » « euh bah non m’dame j’avoue que c’est sympa, mais c’est la première fois pour moi »
« hein c’est vrai mon grand ? Oooh ça me fait énormément plaisir d’être la première à contempler cette jolie chose. » « Merci madame » « Quel joli gland baveux, il est craquant et je suis sûr que décalotté il dégoulinera, attend » elle se leva du fauteuil et s’approcha de moi. Tout doucement elle saisit mon sexe entre ses mains et commença à le décalotter, sa main continuait sa caresse sur mes couilles gonflées, sa bouche se posa ensuite sur mes cuisses pour un doux bisou. «J’adore tes cuisses mon grand, des belles cuisses d’homme musclé, hum sympa je peux leur faire un bisou ? » Les bisous eurent pour effet de faire frétiller ma queue de plus belle et la dame ne se priva pas de me le faire remarquer « elle réagit la coquine hein, elle est contente hein ? » «Bah oui m’dame » «Tu ne sais pas le bonheur que tu pourrais apporter avec une aussi jolie verge ? Y a plus d’une chatte qui couinerait bonheur crois-moi » «Ah bon ? » répondis-je naïvement. «Pauvre petit puceau, tu n’as jamais eu une chatte dégoulinante autour de ton joli pieux ? » «Non jamais madame » «Oh que c’est mignon quand tu dis ça biquet, tu sais y a même des chattes tellement contentes qu’elles finissent par faire un gros pipis sur la bite » « Ah bon c’est vrai ? Je n’ai jamais vu ça » «Oui c’est vrai, y a des femmes qui giclent tu sais et le monsieur en a part ...

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