J’avais invité un pote à venir passer quelques jours dans notre grande maison de campagne. Ce jour-là, il faisait assez doux question météo et, à ma grande joie, avait mis une jupette assez courte, avec ses jolies ballerines dorées… mais comme un petit vent frais soufflait par instant elle avait aussi mis des bas dim-up couleur chair, quasiment indécelables… sauf pour un regard affûté d’un mâle rompu aux plaisirs érotiques que provoque la vue du liseré élastique plus foncé au ras de l’ourlet de sa jupe lorsqu’elle croisait ses jambes. Mon pote avait discrètement repéré ça sans doute !
Alors que nous étions tranquillement tous trois dans le jardin en cet après-midi assez agréable ma femme dit soudain à mon pote : « tiens, on va aller préparer ton lit ».
Et hop ! la voilà partie, avec mon pote qui la suit dans l’escalier conduisant aux chambres à l’étage. Je décidais de ne pas les encombrer de ma présence (du moins tout de suite) en espérant une petite aventure concrétisée [enfin ! – car cela faisait de nombreuses années que mon pote avait envie de se la faire et que moi j’avais bien envie qu’il se la fasse devant moi ou en mon absence] et je les entendis grimper les marches et aller et venir au premier. Connaissant bien ma maison, je me rendis dans la cuisine, en-dessous de la chambre que devait occuper mon ami, d’où je pouvais entendre leurs voix et leur conversation.
J’entendis donc leurs échanges, tout ce qu’il y a de plus banal… qui ne préjugeaient de rien. En fait, dans la chambre [mon pote me raconta tout plus tard dans les moindres détails] il s’en passait de belles… que je ne soupçonnais pas, même si je l’espérais secrètement. Tout en faisant le lit, une fois le drap de dessous bien positionné -avec beaucoup d’affleurements plus ou moins provoqués par ma femme- puis le drap de dessus tendu ainsi qu’une couverture -là encore avec des frôlements de plus en plus fréquents-, ma femme se mit à quatre pattes sur le lit, entreprenant de bien border le lit côté mur. Ce faisant sa jupette coquine remonta très haut bien plus qu’à mi-cuisses, laissant entrevoir le haut de ses bas à mon pote… debout derrière elle, les yeux fixés sur son beau cul. Son beau cul, dont il avait une énorme envie, super moulé par la jupette serrée… d’autant plus que cette coquine écartait de plus en plus ses genoux, exacerbant ainsi l’offrande que constituaient ses fesses tendues, ses jolies ballerines s’agitant en bord de lit. Alors qu’elle se tendait encore plus, dans un geste quasi désespéré pour bien border le haut du drap dans le coin éloigné, faisant mine de tomber en avant, elle décala vers l’avant un de ses genoux, tendant à l’extrême sa jupette sur son cul offert :
« aide-moi un peu S.., je n’y arrive pas »
« qu’est-ce que je dois faire ? » répondit-il
« tiens-moi … »
Alors, il la saisit timidement tout d’abord par les chevilles tout près de ses ballerines.
« oui, c’est bien » dit-il et elle se remit à s’agiter en repositionnant les draps mais faisant plisser la couverture qu’elle fit mine de vouloir retendre en même temps.
« tiens-moi plus haut, je n’y arrive pas »
Mon pote, encouragé et toujours subjugué par la vue de ce beau cul offert à quelques centimètres de lui, remonta ses mains et la saisit alors un peu plus fermement par les hanches.
A ce contact, ma femme sursauta et son cul vibra en se tendant encore plus vers l’arrière. Du coup les deux mains de mon pote se firent plus présentes et pressantes sur les hanches fermes. Il monta imperceptiblement sur le lit et vint se positionner à genoux tout juste derrière elle. Ma femme finit de border le lit et ajusta l’oreiller… mais resta immobile dans cette position… ondulant très légèrement des fesses au contact des deux pognes de mon pote fermement ancrées à ses hanches.
Alors, n’y résistant plus, il avança soudain son bas-ventre vers ce beau cul offert, venant faire sentir à ma femme le contact dur de sa bite hyper bandée à l’intérieur de son pantalon. Quelle joie ressentit mon pote quand ma femme, loin de se rétracter, au contraire répondit à ce contact en arc-boutant son cul tendu à la rencontre de sa bite à travers les étoffes ! Il l’empoigna encore plus haut et plus fermement par la taille et vissa son beau cul tant espéré contre sa queue, se crispant dans ce moment d’extase érotique. Il rugit dans un souffle, tel un a****l sauvage en rut.
Puis, d’un coup, tout s’accéléra, la frénésie s’empara d’eux. Prestement, d’une main, il se débraguetta, baissa son slip et mit à l’air sa bite hyper bandée et, de l’autre main, souleva la jupette tendue qui ne demandait que ça : la culotte noire en tulle, fine et transparente (super-sexy quoi !) fut écartée et la chatte ruisselante de mouille, tellement J…….. était excitée, lui apparut dans toute sa splendeur : du bout des doigts, il vérifia l’état d’humidité de l’endroit, pointa son gland décalotté et l’enfila d’un coup profond et appuyé qui arracha un gémissement de plaisir à ma femme.
Moi, d’en-bas, je n’entendais plus de conversation entre eux et il me sembla bien percevoir ce gémissement. Fou de plaisir et d’excitation… je me disais qu’il se passait quelque chose là-haut ! Tel un chat rusé, je montais à l’étage pieds nus, sans un bruit, le cœur battant.
La porte de la chambre était ouverte… les battements de mon cœur redoublèrent quand j’approchais de la porte : et là ! le choc… de joie !
Je vis mon pote entrain d’enfiler Jeannine en levrette, ses deux pognes saisissant bien les hanches et le haut de ses fesses, sa longue tige épaisse entrant et sortant sur toute sa longueur pour bien ramoner sa chatte en lui arrachant des soubresauts de son cul allant à la rencontre de sa pine. Ma femme, la tête enfouie dans l’oreiller qu’elle semblait mordre pour ne pas hurler, répondait aux coups de treuil de plus en plus virulents que lui administrait mon pote… aux anges !
Il se doutait bien que je n’allais pas les laisser seuls longtemps et que ma curiosité salace me pousserait à venir voir de plus près l’avancée des opérations. Il tourna la tête en direction de la porte et aperçut mon visage, yeux écarquillés, bouche entrouverte (je ne pouvais proférer aucun encouragement mais mon expression était sans ambiguïté). Il esquissa un sourire béat d’extase ; se redressa un instant pour mieux me montrer sa queue qui s’enfonçait dans sa chatte entre les deux fesses tendues et offertes… [comme s’il me disait : « putain ça y est, je la baise ta femme, t’as vu ? »] mon sourire et mon regard brillant d’excitation lui confirmèrent que je prenais un plaisir fou à le voir enfin -après des années d’essais et de tentatives avortées- baiser ma femme : j’étais heureux, comblé… mon pote S.. avec sa bonne bite dure et épaisse ramonait la chatte de J…….. qui semblait se régaler… et je sortis ma queue et je commençais à me branler en regardant intensément Sax baiser J…….. en levrette… sachant bien que le cul de ma femme l’ayant toujours attiré et tenté, c’était LA position qu’il voulait absolument pour une première.
En tout cas, elle, la salope, prenait un plaisir fou à se faire ramoner la chagasse par mon pote (j’étais persuadé depuis longtemps qu’elle avait bien envie… mais qu’elle n’osait pas, à cause de ces cons de convenances) et je voyais bien son cul ferme répondre aux coups de bite de plus ...
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