Un simple mot pour vous remercier de l'accueil fait à ma première histoire, j'ose espérer que les suivantes vous plaîront autant.

Quelques mois passèrent depuis mon premier émoi homosexuel avec Gérard, et je dois admettre qu'avec mes études supérieures chronophages, je n'avais guère le temps de remettre le couvert, ni même de monter un week-end chez mes parents pour ensuite aller le voir. L'envie, elle, était toujours présente. Mais plus que cela, c'est le côté naturel de notre premier contact qui me fascinait, le fait que j'ai si naturellement accepté qu'un homme me fasse lécher son boxer tâché de ses fluides, que j'accepte qu'il m'insulte, qu'il souille mon visage et ma bouche de sa pisse et de son foutre. J'avais aimé cela, et cela me semblait naturel pour moi, alors que je n'avais jamais eu de relation avec un homme auparavant. Je savais bien que l'occasion se représenterait.

Vint alors la Toussaint et sa fameuse semaine de vacances. J'avais bien sûr pris mes billets de train pour aller voir mes parents et ma mère au téléphone était ravie de me savoir sur le retour ! Si tu savais maman, si tu savais ce que ton fils avait vraiment derrière la tête, tu ne serais pas si enjouée. J'attendis tout de même d'être arrivé et posé dans ma chambre pour contacter Gérard. Ce dernier doucha alors tous mes espoirs, en effet, il avait de la famille chez lui et ne pouvait pas me recevoir. J'avais presque envie de pleurer ! Cela faisait des mois que je crevais d'envie de retrouver sa queue puante et elle allait me filer sous le nez, c'était hors de question !

"Tu.. tu n'as pas un autre endroit ou on pourrait se voir ?
- Bah alors ptit gars, t'as tant envie que ça de me revoir ?
- C'est pas ça ! C'est juste que je sais pas quand est-ce que je vais revenir donc ça serait dommage de louper cette occasion !
- Eh, tu sais y'a pas de honte à être accro à la bite hein. Tu sais je te l'ai dis, on le voit dans ton regard.
- Arrête de te foutre de moi. On pourrait aller au stade, tu as les clés non ?
- Le stade ? C'est risqué. Je ne suis que l'intendant moi. Tu crois que le Président du club va faire quoi s'il me surprend en train de baiser un jeune de 18 ans à peine dans les vestiaires de son stade ?
- On peut faire ça le soir non ?
- Possible oui.
- Alors c'est oui ?
- C'est oui, mais à deux conditions.
- Lesquelles ?
- Premièrement, tu me laisses faire ce que je veux. Je te rassure, aucune mise en danger ptit mec, mais je veux carte blanche.
- Hum, d'accord..
- Et ensuite, je veux que tu me dises que tu crèves d'envie de me revoir.
- Oui Gérard..
- Oui quoi ?
- Oui j'ai envie de te revoir, et ta queue me manque beaucoup...
- C'est pas mal. A ce soir, 20h au stade. Sois à l'heure et éteins tes phares en arrivant là-bas, le portail sera ouvert donc sois discret."

En attendant la fin de la journée, je me demandais ce qu'il entendait par "carte blanche" même si je m'en doutais un peu, il allait vouloir prendre ma virginité anale, et j'avoue que cela me stressait énormément. En effet, j'avais peur d'avoir mal, de ne pas être préparé, d'être sale, et autre préoccupation. Je tentais de me rassurer en me disant qu'il savait s'y prendre mais j'étais quand même soucieux.

Le soir vint et je prétexta une partie de play chez des potes pour m'éclipser de chez mes parents. La route vers le stade n'était pas si longue pour une fois, et j'arriva rapidement devant le portail avec les feux éteins. J'ouvris ce dernier et quitta ma voiture pour aller vers les vestiaires, là ou il m'attendait certainement. Le trajet à pied fut très bref mais je fus assailli de questions. J'allais vraiment donner ma virginité à un homme aussi âgé ? A peine le temps de cogiter que je fus devant la porte du vestiaire hommes, à pousser la porte pour rentrer.

Son odeur me frappa d'un seul coup, et tous mes souvenirs vinrent s'inviter à nouveau dans mon esprit. Gérard était là, habillé d'un simple maillot de foot, et d'un slip cette fois mais toujours en lycra. Il m'accueilla en me roulant une longue pelle et en me plaquant contre lui, je lui rendis la fougue de ses baisers en renforçant mon étreinte. C'était génial, j'étais comme un fou. Je touchais son paquet pendant ce temps pour constater que sa queue n'avait rien perdue de sa vigueur, j'étais tellement heureux de le revoir. Naturellement, et comme la première fois, je me mis à genoux pour instantanément renifler son paquet, mais cette fois il n'en fut rien. Quoi ? Il ne voulait pas que je renifle ?

"Non ptit mec, je te réserve une surprise pour plus tard, mais là tout de suite j'ai envie que tu me pompes comme une salope. Ca fait 3 mois que je me suis pas vidé dans ta gueule d'ange, alors il va falloir qu'on rattrape le temps perdu.
- Tu veux que je vide ta vessie d'abord ?
- Tu es mignon toi. Lave moi d'abord la bite et après je m'occupe de toi."

Sa queue était un délice. Gérard avait de grosses couilles bien poilues que j'adorais mettre dans ma bouche. Il avait aussi une queue de 17 centimètres environ, mais surtout, un goût et une odeur exquises. J'adorais lui laver sa queue, sa queue de pervers qui aime baiser des jeunes mecs comme il le dit si bien. Je passais ma langue sur la base de sa queue, avant de remonter pour faire le tour de son gland et tenter de l'avaler entièrement sans m'étouffer. Parfois je le regardais pendant que j'avais ma bouche remplie de sa queue et j'aimais le voir gémir, m'insulter, me regarder en retour.

Soudain, Gérard ôta sa queue de ma bouche et me demanda de me lever. Ce que je n'ai pas précisé, c'est qu'au centre du vestiaire, il y avait une table de massage. Et Gérard m'ordonna de me mettre à quatre pattes dessus tout en projetant mon fessier vers l'arrière. Je pensais que c'était mon heure, mais en fait pas du tout. D'un coup, je sentis sa langue venir laper mon anus, j'ai gémi par reflexe, et d'autres coups de langues suivirent. Il était en train de me bouffer le cul, et bordel que c'était bon. Sa lan ...

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