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Le garçon accro aux effluves de mâle - 11

Publié par : jeune48000 le 27/05/2025
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Les vacances de Pâques étaient mes préférées. Il fait ni trop froid, ni trop chaud, la nature sort de son sommeil hivernal et les champs reprennent leurs couleurs, j’étais de bonne humeur, et surtout heureux de rentrer chez mes parents pour faire une véritable pause dans mes études.

J’avais pris le train le lendemain de ma baise avec Brice, et à peine arrivé j’avais prévenu Gérard que je voulais le revoir, j’avais envie de me faire pervertir à nouveau et de m’abandonner à l’homme qui m’a initier au coît entre hommes. Seulement, la réponse ne vint pas et j’en venais presque à me demander s’il souhaitait à nouveau me voir.

Je me devais donc de tromper mon ennui, et je cherchais à faire des rencontres quand je fis la découverte d’une aire de repos pas loin de chez moi réputée pour son activité homosexuelle. C’était risqué, car que dire si je tombais sur quelqu’un qui me connaissait ? Ou pire qui connaissait mes parents ? J’avais peur. Et en même temps, cette peur se transformait peu à peu en excitation. J’avais envie de découvrir cette aire, de faire une rencontre.

En me renseignant sur des sites obscurs, je vis qu’un profil revenait souvent à la même heure, un profil qui me plaisait. Un homme de 70 ans, qui passait souvent à 20h, et très chaud de la bite. Au vu de sa photo de profil il était sacrément bien membré le bougre. Je me suis dis que ça serait lui mon prochain baiseur, et que j’allais y aller en même temps que lui. En plus l’obscurité réduisait les risques de me faire reconnaître.

Le soir même, alors que je prétextais une soirée pour quitter le domicile, je pris la route de cette aire pour partir à la rencontre de ce vieux pervers. La route était longue, et une fois arrivée il n’y avait qu’une vieille Xantia ainsi que moi. J’étais sûr que c’était lui. Derrière l’aire il y avait un sentier escarpé qui menait vers une ancienne maison maintenant en ruine. Je faisais le tour du propriétaire mais rien, pas un bruit. Même en étant très alerte, je ne percevais le moindre bruit, il n’y avait personne. Je continuais quand même mon inspection mais aucun signe de vie n’était à déclarer. Quand soudain, j’entendis un sifflement provenant de derrière cette maison.

Mon corps s’arrêta soudainement, je ne savais pas quoi faire lorsque le même sifflement se fit entendre. N’écoutant que ma libido, je fis discrètement le tour de la maison et je découvris un espèce de cabanon. Sur le chemin il y avait des mouchoirs et des capotes usagées, c’était là le lieu de rencontre, j’étais juste au mauvais endroit depuis tout à l’heure. J’avançais alors vers ce cabanon et arrivé devant l’entrée je vis un homme adossé au mur, en train de doucement se toucher le paquet. Putain il était là.

« Tu t’es perdu mon joli ?
- Non je…. Je me balade c’est tout. Dis-je d’une voix peu convaincante.
- Tu te balades ? Ce n’est pas un endroit pour se balader tu sais.
- Ah bon ?
- Ah c’est un coin où certaines personnes pourraient profiter d’un joli minois comme le tien tu sais. Mais peut-être que c’est ça que tu cherches ?
- Je.. je sais pas…
- Comment t’appelles-tu mon joli ?
- … Thomas et vous ?
- Claude, et tu peux me tutoyer tu sais, tu ne crains rien avec moi. »

J’étais terrifié. J’étais seul dans un cabanon avec un homme qui voulait de moi, et je n’avais nulle part où aller. Je pouvais courir mais l’obscurité risquait de jouer en ma défaveur. J’étais venu de mon plein gré, j’avais déjà fais des choses folles niveau sexe, mais là ça allait au-dessus, je n’avais aucun contrôle. Et en même temps, cette peur m’excitait énormément.

« Tu as quel âge mon petit Thomas ?
- J’ai bientôt 19 ans et v… toi ?
- Ah, j’ai l’âge que tu veux bien me donner ! Dit-il en ricanant.
- C’est à dire ?
- Je vais sur mes 71 ans. »

Putain, il avait plus du triple de mon âge. Cet homme avait plus de 70 ans, et même si la peur était toujours présente, l’excitation de goûter à une queue si mûre m’excitait encore plus.

« Ah oui on a un sacré écart…
- C’est vrai, ça te dérange ?
- Non pas particulièrement.
- Ça tombe bien mon joli car j’ai un service à te demander.
- Je t’écoute ?
- Eh bien j’étais censé voir un ami ce soir et il était censé me rendre un grand service. Mais visiblement il ne va pas venir. Tu penses que tu pourrais t’en occuper à sa place ?
- Euh… quel genre de service ?
- Ça concerne ça. »

Sur ces mots il déboutonna son pantalon et sorti son sexe à demi gonflé. Il avait vraiment une grosse queue j’en étais choqué. Je me demandais déjà comment il allait me pénétrer, car comme un con je n’avais même pas pris de lubrifiant, j’étais inquiet à l’idée de l’accueillir en moi. Et encore une fois, j’avais tellement hâte de goûter à son membre, d’être la petite salope d’un grand-père.

« Oh d’accord.. dis-je timidement, elle est grosse.. 
- Tu aimes ? Elle n’est pas encore bien dure là tu sais mignon.
- Tu es très bien monté oui..
- Viens mon joli approche toi, je sais que tu es venu là pour ça. »

Je m’approchai de lui tout doucement et, instinctivement je me mis à genoux pour être au niveau de sa queue. Elle gonflait encore, et j’en avais presque peur. Son membre était menaçant, mais en même temps tellement attirant. Je commençai alors ma fellation et fit en sorte d’y aller progressivement mais ce n’était pas du goût de ce pervers qui prit rapidement les devants en me baisant littéralement la bouche. Sa queue tapait ma glotte à chaque coup et j’avais besoin de reprendre mon souffle régulièrement. Il me démontait la mâchoire, carrément, et n’en avait rien à foutre de mes hauts le cœur ainsi que de mon manque de souffle. Il m’écartait la mâchoire, j’étais sa chose. Je me demandais entre deux coups de queue, comment cet homme pouvait-il être aussi vigoureux à son âge. Sa queue était si dure et chaude, j’en étais choqué.

« Oh c’est bien mon joli continue à ouvrir la bouche, tu es exactement ce que je cherchais pour ce soir. »

Il prenait son pied car je pouvais l’entendre gémir bruyamment désormais, mais ses mouvements ne faiblissaient pas, au contraire. Il malmenait toujours ma bouche et je dois admettre que ma mâchoire montrait des signes de fatigue. Il m’épuisait à force de me pilonner, et ...

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