Putain, ce qui m'a fait bander à mort, c'était cette attente fiévreuse, ce vide qui appelle le chaos. Je poireautais chez mon pote Lucas, qui venait de choper un loft immense en rez-de-chaussée d'une tour délabrée du centre-ville de Lyon, un truc des années 70 qu'il rénovait pour en faire son QG d'artiste. L'électricité devait être branchée ce midi, mais lui bossait sur un chantier à l'extérieur et m'avait supplié de gérer le technicien. J'avais forcé les volets grillagés pour laisser entrer un filet de lumière poussiéreuse, et je glandais sur la seule pièce de mobilier – une paillasse en béton brut qui servait de table improvisée. Télé en main, je scrollais distraitement des pornos gays hardcore, la trique à moitié levée dans mon jean slim, quand le ronflement d'un van utilitaire a envahi la cour intérieure envahie de gravats.
Je me lève d'un bond, vais à sa rencontre, et là... bordel de merde. Le mec descend de son fourgon bleu marqué "ÉlectroPro", et je suis K.O. direct : 1 m 98 facile, 110 kg de muscles taillés à la serpe, un rouquin de 28 ans au torse bombé comme un pilier de rugby pro, avec une toison rousse qui dépasse du col de son polo bleu marine – un Endys bas de gamme qui moule ses pecs comme une seconde peau, trop court pour cacher ses abdos saillants et ses tétons dressés, durs comme des clous sous le tissu tendu. Ses biceps gonflés tendent les manches à craquer, veines saillantes qui pulsent comme des invitations au vice. Et le bas... oh putain, son pantalon de taf cargo gris, une taille en dessous sans doute, colle à ses cuisses massives comme du latex, et le paquet au centre : une bosse obscène, lourde, qui balance à chaque pas, promettant une bête endormie prête à se réveiller.
"Salut, c'est pour le branchement chez Lucas ? J'ai RDV à midi pile", qu'il balance d'une voix grave, rocailleuse, avec un accent du Nord qui vibre dans mes couilles.
"Ouais, c'est moi, Julien. Lucas est coincé au boulot, il m'a filé les clés. Pas de souci ?"
"Aucun, mec. Juste un gros disjoncteur à clipser, et on y est." Il ricane, ses yeux verts me scannant de haut en bas, s'attardant sur ma braguette gonflée. Je ne moufte pas sur le "gros", même si ça me fait déjà durcir. Je le guide à travers le loft vide, nos pas résonnant sur le sol en carrelage fissuré, jusqu'au tableau électrique jauni dans ce qui sera la cuisine ouverte – un mur de placards nus et un évier rouillé.
Il pose sa mallette cloutée sur la paillasse avec un claquement sec, farfouille deux secondes, et clipse le câble principal. Un déclic, une ampoule nue qui s'allume au plafond : c'est bon.
"Pas mal pour un vieux truc analogique. Pas de smarthome ici, hein ?"
"Clairement pas. C'est du brut, comme le proprio." Je mate son dos pendant qu'il range : épaules larges comme une armoire, V du trapèze qui descend vers un cul bombé, moulé dans le cargo, deux globes fermes qui tendent le tissu au point de le faire craquer. Ses cuisses, des piliers de chêne, poilues sous le pantalon, et ce paquet qui se balance toujours, arrogant. Mon cœur cogne, la bouche sèche, la queue qui palpite contre ma cuisse.
Il se retourne, et d'un geste nonchalant, sa main droite descend se frotter le renflement à travers le tissu.
"T'inquiète, mon gros fusible à moi, il est testé et approuvé. Efficace à 100 %." Son sourire est vicieux, insolent, un éclat de dents blanches sous sa barbe rousse naissante. Il s'avance, envahissant mon espace, son odeur de sueur fraîche et de métal chauffé m'enveloppant comme un uppercut.
Bouche bée, je recule pas – je peux pas.
"Le... deuxième branchement ?" qu'il murmure, son souffle chaud sur mon cou, et avant que je sorte un son cohérent, sa bouche s'écrase sur la mienne.
Une pelle vorace, langue épaisse qui force mes lèvres, envahit, suce ma salive avec une faim animale. Sa main calleuse défait ma braguette d'un geste expert, mais c'est lui qui craque la sienne en premier : zip qui descend, et sa bête jaillit, libre, tendue comme un arc.
Je suis toujours assis sur le bord de la paillasse, les jambes molles, et je le laisse me dominer. Il guide ma tête d'une poigne ferme sur ma nuque, et je plonge sur sa queue : putain, un monstre de 23 cm, épaisse comme mon poignet, lisse et veinée, gland large et violacé qui suinte déjà un filet de pré-cum clair. Ses poils pubiens roux sont taillés court, un buisson serré à la base, et ses couilles – étrangement petites pour une telle bête, rasées nickel, serrées comme des pruneaux durs contre son périnée. Je l'engloutis sans réfléchir, bouche grande ouverte, lèvres étirées au max autour de ce calibre bestial. Goût de savon viril, sel musqué, et une raideur de fer qui me remplit la gorge. Je pompe comme un assoiffé, langue qui tournoie sur le frein sensible, aspirant le gland jusqu'à ce qu'il cogne mes amygdales. Mes mains agrippent ses cuisses puissantes, muscles qui roulent sous mes paumes, poils drus qui me chatouillent les doigts.
Il change de pose d'un grognement : s'arc-boute contre la paillasse, jambes écartées, et je me mets à genoux face à lui, cambré, le visage enfoui dans son pubis roux. Je le suce en expert, gorge profonde qui avale jusqu'aux couilles, bulles de salive qui coulent sur mon menton.
D'une main, il empoigne mes cheveux, guide mes va-et-vient bestiaux ; de l'autre, il pince son propre téton saillant à travers le polo, le tordant jusqu'à ce que son torse massif tremble.
"Putain, mec, t'avales comme une pro... Ouais, comme ça, avale mon gros fusible !" Sa voix rauque craque, accent qui dégouline de luxure.
Il vacille sur ses jambes de colosse, cuisses qui frémissent sous mes assauts, et d'un coup, il explose : "Ouais, mec ! Prends tout !" Un cri primal, guttural, et son jus gicle en jets épais, brûlants, salés comme l'océan – direct dans ma gorge, débordant sur mes lèvres, coulant sur mon menton. Je déglutis tout, avidement, sa queue pulsant encore contre mon palais, dure comme jamais malgré la décharge.
Je me redresse, essuyant ma bouche du revers de la main, et je saisis sa bite encore raide, veines gonflées sous mes doigts, la caressant lentement de la base aux couilles rasées. Il m'attrape par la nuque, sa grosse patte enveloppant ma tête, et m'aspire dans une pelle possessive, langu ...
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