Depuis ma balade en forêt je ne pensais plus qu’à ce bucheron qui m’avait si bien honorée contre un arbre, le mois dernier.
Le revoir était devenu indispensable pour moi.

En cette journée d’automne, je me mis sur mon trente et un.
Je passais un temps infini dans la salle de bains à me maquiller.

Je retrouvais facilement, le chemin qui bordait la forêt, puis l’endroit qu’il m’avait indiqué pour arriver chez lui.
Je me garai dans la cour descendit de la voiture et tapa à sa porte.

Le gaillard m’ouvrit sa porte et ne fut pas surpris par ma présence
.
Sans doute lui aussi rêvait de me retrouver, un léger sourire se dessina sur ses lèvres.
_entrez donc délicieuse beauté, me dit-il.
_je suis très contente de vous revoir, lui répondis je, ne laissant aucun doute sur le but de ma visite.

Nous nous sommes dirigés vers le salon, là trônait une vaste cheminée dans laquelle un feu de bois crépitait répandant dans la pièce une chaleur très intense.
_donnez moi votre manteau chère ? ?. ?. ?
_Francesca et vous ?
_Antonin.

Je retirais mon manteau découvrant un haut transparent, sous lequel apparaissait un soutien-gorge de dentelle noire.

_Francesca, je vous invite à vous asseoir près de moi sur le canapé.
_puisque nous avons été si proche on peut se tutoyer maintenant, dit Antonin
_tu as raison Antonin, je lui répondis.

Tous les deux assis sur le canapé en face de la cheminée, nous papotions ensemble de sujets futiles, avec l’esprit occupé par des pensées coquines sans doute.
Dans la cheminée le feu diminuait d’intensité.
_il faut remettre une bûche Antonin, sinon la flamme va s’éteindre
_moi aussi je vais te mettre une bûche, dit Antonin, le coquin !
_avec plaisir ma cheminée a du tirage ! lui répondis je.

Je me levais pour alimenter en bois le feu, perchée sur mes hauts talons j’ondulais dans ma petite jupe moulante, tournant le dos à Antonin.

Je fis glisser le zip de ma jupe qui tomba sur les chevilles.
Antonin pouvait admirer mes cuisses gainées avec des bas accrochés sur un porte jarretelles.

Mes petites fesses rebondies n’étaient pas dissimulées dans mon string.

Tout en me tortillant face à la cheminée je retirais mon haut, je devinais que cela devait plaire à mon bucheron.

Je me retournais pour constater que je lui faisais de l’effet.
Il avait sorti son sexe de son pantalon, enfin je pouvais voir, ce manche long épais qu’il tenait en main.

Je fis glisser mon string pour libérer mon clito lui aussi fièrement dressé.

Je m’approchai d’Antonin, le string dans ma main, doucement je balançais mon string sur la queue d’Antonin.

Rapide comme l’éclair il se mit complétement nu pendant que je tournai sur moi-même pour qu’il lèche de ses yeux toute mon anatomie.

De nouveau assis sur le canapé je m’approchai plus encore de lui.

Je posai mes mains sur ses genoux pour écarter ses cuisses mu ...

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