Les jours suivants, je me maintins prêt à répondre à son appel à tout moment : épilation des parties intimes et dilatation de mes bouches. Enfin, il m’appela. En pénétrant dans son jardin, je remarquai sur la gauche, un bosquet de bambou et un plus loin, un Bifora testiculata, espèce rare en nos contrées, il devait être quelque peu amateur de botanique ! Après mon coup de sonnette, l’entrée en matière suivit le protocole convenu. Je refermai la porte, je me déshabillai et nu, me dirigeai vers la douche. Martin me félicita pour ma promptitude. Il fit couler l’eau de plus en plus chaude puis me savonna, en s’attardant sur mes seins dont il fit jaillir les tétons. A mon entrejambe, il malaxa mon sexe en tout sens en comprimant mes testicules vers le sol. Me retournant, satisfait de l’y trouver, il joua avec le plug, le faisant aller et venir de plus en plus vite jusqu’à entrer et sortir sans que je m’en aperçusse. Puis, lassé, il laissa mon orifice bailler et dirigea le jet d’eau vers mon œillet ouvert. L’eau se répandit dans mes entrailles et ressortit avec les ultimes scories. Il m’enfonça alors le gode pommeau, d’un volume plus conséquent que le précédent, dans l’anus.
-Tu ne vas pas tarder à être prête. Tu m’impressionnes.
Cessant ces préliminaires, il me sécha. Et prenant une chaîne, il m’en fixa les pinces attenantes à ses extrémités aux tétons dressés. C’est ainsi qu’il m’obligea à le suivre dans son séjour. Je retins avec peine un cri de douleur.
-Fais pas ta douillette, tes seins aussi doivent me convenir !
Il me montra un tabouret de piano.
-Allonge toi sur le ventre dessus.
Le tabouret n’était pas là pour que je joue de cet instrument à corde. Mon corps allait être l’instrument de sa partition. Avec de fines cordelettes, il m’attacha bras et jambes aux pieds du tabouret. Dans cette position, je m’attendais à recevoir la visite d’André, j’avais le cul offert et aucune possibilité de me refuser. Il me laissa de longues minutes délirer sur la profanation promise la fois dernière. Quand il revint, il avait un collier que je pris, de prime abord, comme celui qu’il m’avait fait porter pour visiter son antre. Je me trompai. Centré sur une balle rouge qu’il me logea dans la bouche, il le sangla sur ma nuque. J’avais les lèvres distendues par l’engin, je ne pouvais plus parler, je commençai à baver.
-Ta bouche aussi doit s’adapter à la taille de mon sexe. Par celle là aussi je dois pouvoir jouir en toi. Il te faudra prendre l’habitude de gober des objets aussi gros chez toi, Abel, n’est ce pas ?
Et il m’asséna une belle fessée en veillant à ce que chaque fesse s’écarta de l’autre à chacun des coups.
Là, je dois avouer qu’il a bien fait fait de me taper. La douleur ressentie m’a permis d’oublier l’angoisse qui me submergeait d’être bâillonné. Je n’étais pas venu de mon plein gré pour être contraint malgré moi. Je compris pourtant que je n’avais pas d’autre alternative que d’être acculé et consentant pour ce jeu que j’avais recherché. Il ne me laissa pas le temps de poursuivre mes réflexions. Je sentis l’entrée de ma cave forcée par un objet aux bords évasés qu’il fit aller et venir sans difficultés. Il avait dû le graisser généreusement, rien en moi ne pouvait freiner la dilatation qu’il m’imposait. Jamais, je n’avais été profané de cette façon. Étonnamment, ma bouche s’ouvrait au même rythme que mon anus. Enfin, il s’arrêta. Il dut penser que je méritais un peu de repos. Mais, il me laissa l’engin (une bouteille de Pinot ?) en place. Je fermai les yeux, je n’étais plus qu’un trou du cul. Je perdis la conscience du temps.
La sonnette retentit. Ce n’était donc pas fini !
Martin m’enleva le bâillon buccal et me recouvrit les yeux d’un bandeau. J’étais plongé dans le noir total. Je ne pourrais pas voir l’homme qui m’avait pris la fois précédente. Ils se saluèrent. Daniel me caressa les fesses et s’adressant à son compère :
-Bravo, tu as enfin trouvé la chatte qui va te satisfaire !
Puis, s’approchant de mon visage, il posa Popaul sur mes lèvres et m’ordonna :
-Ouvre ta bouche, petite salope !
Et il s’en servit, comme d’un sexe, sans autre précaution. Il ne voulait pas que je le suce, il voulait me baiser. L’une de ses mains me maintenait la tête pendant que l’autre s’étant emparé de la chaîne qui pendait de mes seins, la dirigeait vers lui de plus ...
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