Après une nuit agitée, je me réveille et repense à Cathy, Joël, ses paroles, leur invitation pour ce soir...
11h, encore 9h à tuer avant d'enfiler mon costume de baiseur professionnel ^^ puisqu'en plus d'assouvir mes pulsions j'étais rémunéré en contrepartie de mes performances et de mon silence.

15h texto de Joël "toujours bon pour ce soir 20h?"
1/4h plus tard Cathy "Ravie que ni Joël ni toi n'ayez changé d'avis, hâte de redevenir ton élève disciplinée et montrer à mon homme ce que tu es capable de me faire faire (smiley honte et diable qui sourit)
est-ce un SMS secret ou sous les yeux de Joël... Dans le doute je tourne une réponse ambiguë qui reste respectueuse pour lui.
Même si je le respecte comme homme et mari partageur, je ne peux m'empêcher de me voir également comme un dominant pour lui, puisqu'il a choisi de cautionner que je drive sexuellement sa femme, et sous ses yeux de surcroît.

Dans l'a-midi je suis sorti en ville, pas dans mon petit patelin, mais une grosse ville où on passe plus inaperçu. j'avais d'abord pensé prendre des fleurs pour Cathy, puis une bonne bouteille de vin pour marquer le coup et marquer des points avec eux mais j'ai eu un éclair de lucidité, de génie ou bien de folie je ne savais pas trop en fait et j'allais les marquer d'une autre manière : celle pour laquelle j'étais leur "élu".
J'avais pris la zone piétonne, longé les terrasses puis pris une petite ruelle en parallèle de l'axe commerçant principal, avant d'arriver devant une petite boutique discrète entre 2 magasins de fringues fermés (on était dimanche)
Je ne crois pas qu'on puisse définir ce lieu de sexshop car dans les faits, aucun sextoy, ni vidéo porno présente, mais je dirais que c'est une friperie très particulière... 90% des articles sont noirs ou rouge, en cuir, latex ou bien encore dentelle, et ce qui brille sur les rayons ou les cintres ce n'est nullement des strass mais plutôt des rivets, des pointes, et autres détails métalliques brillants sur toutes ces pièces vestimentaires dont regorge cette boutique.
Le tenancier lui était complètement à l'opposé de l'univers de son magasin. Un petit d'homme d'1m60 grand max, avec un pantalon à pince ocre et une chemise fleurie bleu blanc très classe même si trop large pour son gabarit.
Après m'avoir laissé vagabonder quelques minutes dans les petits 15-20 m2 que remplissait sa boutique il vint me proposer son aide et me sorti de son arrière boutique THE accessoire que je cherchais : noir, fin, scintillant de part les pièces argentées qui y étaient montées dessus et il m'offrit une personnalisation que je n'espérais pas en y frappant quelques lettres sur ce cuir déjà si évocateur: "C disciple de V"
Le commerçant (Michel, ça ne s'invente pas lol) m'emballe tout ça dans un joli paquet et me fait un clin d'œil avec un sourire pincé au coin des lèvres.
"N'hésite pas à repasser pour me dire si ce cadeau a fait son effet. j'adore connaître l'histoire de mes petits produits "

19h Je suis de retour à la maison.
Gros passage par la salle de bain, inspection des ongles, oreilles , nez, bouche lol et rasage de près même si je m'entretiens toujours très régulièrement .
j'enfile caleçon, chaussettes ,jean, ceinture, chemise, sneakers GW500, ceinture, montre.
Full black à l'exception du Levis 511 bleu brut.
Ce soir c'est l'examen final et si ça fonctionne, j'aurai une année de profit en tous sens en perspective.

20h Je descends de ma voiture et sonne, mon petit paquet derrière moi, et mon gros paquet déjà sous pression dans mon caleçon à l'idée des heures à venir.
Sans trop de surprise c'est Cathy qui m'ouvre.
Elle porte une robe longue type bohême aux motifs fleuris rose/orange mais très ajustée, quasi moulante jusqu'aux reins avec un décolleté déboutonné jusqu'à la naissance de son soutien-gorge rouge qu'on devine, des sandales camel, les cheveux lâchés mais avec un élastique autour du poignet.
"Bonsoir Vincent, Ponctuel comme d'habitude!"
"Et toi toujours sublime comme à chaque fois, on dirait une robe sur mesure"
Elle m'étreint en prenant soin de bien plaquer sa poitrine contre mon torse et m'embrasse quasiment dans l'oreille en me chuchotant "ma petite chatte a pensé à toi toute la journée".
J'avance jusqu'au salon sous son invitation et le contact de sa main dans le creux de mes reins qui me guide puis effleure mon fessier en retirant sa main une fois dans la pièce.
Nous nous saluons avec Joël qui attend près de la porte fenêtre et nous prenons place dans les mêmes assises que la veille autour d'une coupe de champagne déjà prête en échangeant quelques banalités.
Dès qu'elle le peut, Cathy se lève, se penche vers moi pour m'offrir sa poitrine en champ de vision et me touche la main, le bras, la cuisse chaque fois qu'elle s'adresse à moi.
"j'ai beaucoup hésité pour ma tenue tu sais, j'ai cette robe dont j'adore le motif mais elle me donne vraiment chaud ce soir"
"Est-ce vraiment à cause de la robe?"
Joël,spectateur silencieux est sorti du silence. Mais il a l'air très heureux à voir son sourire en observant ce petit jeu depuis le fauteuil en face de notre divan.
Cathy le regarde et attrape ma main.
"Dis lui toi que j'ai vraiment chaud" Et elle parcourt sa robe à l'aide de ma main de haut en bas, me faisant caresser son sein gauche, son ventre, sa cuisse gauche jusqu'à la cheville qu'elle a repliée sur l'assise avant de remonter, prenant bien soin de coincer un bout de robe entre mes doigts pour qu'elle se relève jusqu'en haut de la cuisse, laissant ainsi sa cuisse gauche entièrement nue jusqu'à l'aine avant de me rendre ma main et ouvrir sa hanche sans réajuster sa robe et ainsi donner l'envie à n'importe quel homme normalement constituer d'aller à minima décaler le bord de sa robe de quelques cms pour découvrir son entrecuisse.
"Alors Vincent, n'ai-je pas raison?"
Et Cathy de tirer la langue à son homme.
"Je crois que je vais aller mettre une tenue plus légère"
C'était le bon moment pour marquer des points, je sortis mon petit paquet et le tend à Cathy.
"Une petite surprise pour toi. Avec un peu de chance elle pourrait aller avec la tenue que tu comptes enfiler"

Cathy ouvre, me sourit, valide et referme sans montrer à Joël.

Pendant qu'elle s'éclipse 2 minutes dans sa chambre, Joël remplit nos verres et débarrasse les quelques amuses-bouches qui étaient sur la table basse et se réinstalle confortablement dans son fauteuil comme s'il allait débuter une séance de cinéma.
On entend la porte de la chambre se rouvrir, des talons claquer au sol puis la voilà dans l'encadrement de la porte.
talons hauts vernis noirs, bas noirs, porte-jarretelles, string, bustier pigeonnant, sous un gilet en maille transparent tous noir également, le tout réhaussé de... mon fameux cadeau.
En faisant glisser son doigt le long du cuir de ce collier fraîchement offert qu'elle avait ajustée très serrée autour de son cou elle me dit:
"Maintenant que je suis plus à l'aise, je suis entièrement à ta disposition... et ne me ménage surtout pas"
"Comptes sur moi"
Je l'attrape doucement par le collier pour l'amener à genoux devant moi, détache ma ceinture et lui intime de continuer sans les mains qu'elle place alors dans son dos bien en évidence de Joël.
Après avoir frotté son nez le long de ma cuisse elle mord l'angle de mon jeans et tire pour faire sauter les boutons.
1, 2, 3 puis 4, et tire comme elle peut vers le bas.
je l'aide discrètement en faisant glisser le jean sur mes fesses et le voilà à mes genoux.
Cathy tourne la tête et envoie un baiser à Joël qui lui répond par un sourire. C'est alors que je réalise qu'elle lui fait de magnifiques cornes avec ses doigts depuis tout à l'heure.
Elle plonge de nouveau son nez sur ma cuisse et hume ma peau en remontant jusqu'à ma taille.
Bouche entrouverte elle expire lourdement les lèvres collées contre mon boxer. je sens la chaleur de son souffle irradier à travers le tissu et finir de chauffer mes bourses, ma verge.
Je vois les coins de sa bouche s'élargir en sentant mon sexe gonfler entre ses lèvres, elle a maintenant sa langue appuyée contre.
"Donnes moi tes mains"
je lui tiens les poignets d'une mains au dessus de la tête et ouvre mon caleçon de l'autre pour lui tendre ma queue.
"montre nous la petite cochonne que tu es, lèches et ne referme la bouche sous aucun prétexte"
sa langue se promène sans discontinuer partout de la pointe de mon gland jusque sous mes bourses, de plus en plus humide, trempée, dégoulinante au fur et à mesure.
Sa salive goutte et a détrempé sa poitrine quand je la fais remonter debout.
Nous voici face à Joël.
je lui mordille l'oreille "Caresses toi la poitrine, je vais m'occuper de ta petite chatte"
Mes doigts glissent sur la dentelle de son string, caressant ses lèvres jusqu'à les sentir adhérer puis s'enfoncer dans la chaleur de son plaisir.
Son homme après avoir déboutonné son pantalon se caresse lentement devant ce spectacle, il va ...

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