Moi, homme marié, bi, fétichiste, lisse, j'adore qu'un maître me soumette à ses ordres et à sa queue...
Justement, jeudi soir suis allée au Mont-Boron à Nice, lieu idyllique par son emplacement et par la vue que l'on a sur la ville d'un côté et sur la Baie de Villefranche de l'autre côté...
À 19h, il fait déjà nuit noire à cette époque de l'année. Je constate toutefois qu'il y a quand même beaucoup de passage. Et funestement, peu d'action, alors même que beaucoup restent dans leur voiture, à se demander pourquoi ils viennent ici...
Alors je suis allée au parking situé plus bas au début du chemin qui monte au fort. J'étais tout au fond du parking dans ma voiture, en tenue de pute, dans l'obscurité car il n'y a pas d'éclairage public. Seuls les phares des voitures qui viennent prétexter faire demi-tour dans le cul-de-sac du fond du parking apportent de temps en temps de la lumière...
Ce soir, j'ai le feu au cul, alors je sors de ma voiture et m'accoude contre l'habitacle. Comme ça, tous ceux qui viennent faire leur demi-tour peuvent découvrir au dernier moment dans le faisceau des feux de leur voiture mes jambes perchées sur mes hauts-talons et garnies de la paire de bas nylon que j'ai chipée à ma belle-mère, cette salope (voir mon histoire "Petit fantasme deviendra grand"). Puis quand ils amorcent la fin de leur virage, ces cochons peuvent voir mon cul sans culotte dépassant de la nuisette rose également empruntée à la mère de ma femme...
A mon grand étonnement, beaucoup passent, doucement certes mais aucun ne s'arrête...
De plus, je distingue aux proches alentours les autres cochons qui soit restent prostrés dans leur voiture soit déambulent dehors les mains dans les poches à simplement regarder...
Découragée après 15 minutes de passage, je me dis qu'il serait temps que je change de spot quand encore une autre paire de phares vient amorcer son demi-tour...
Comme les autres, j'entends le bruit de son moteur se rapprocher doucement dans mon dos puis me dépasser...
C'est une camionnette blanche qui passe et qui, ô merveille, se range sur le côté et s'arrête...
Je vois se distinguer sur le timide fond d'éclairage public de la route lointaine une silhouette sortir du véhicule et, après quelques secondes d'immobilisation, s'approcher...
La pénombre ne me permet pas de distinguer le visage de la personne qui fait le tour de ma voiture pour se placer derrière moi...
Je me retourne alors pour découvrir à 50cm un ouvrier d'origine maghrébine dans la 60aine. Il est en tenue de chantier, pantalon et chaussures couverts de poussière, il s'est mis derrière moi et commence à me caresser le cul. Il m'insulte en français, puis en arabe...
Pour me punir, dit-il, il continue en me donnant une fessée avec ses mains râpeuses, une vraie fessée en me traitant de tous les noms, dans les 2 langues, ça a duré bien 15 minutes d'une alternance de brimades et de caresses incendiaires...
C'était d'autant plus excitant que je sentais la présence des voyeurs aux alentours, alors je cambrais encore plus mon cul pour signifier mon abandon à mon bourreau.. ...
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