Pour ceux qui ne comprenne pas de qui je parle, il s’agit de Tonio et Tony. Tonio est ramoneur et Tony son employé. J’ai connu Tonio en premier, il est venu pour ramoner le conduit de cheminé et il en a profité pour me ramoner.
Puis une deuxième fois il est venu accompagné de Tony un jeune qu’il a embauché et a qui il apprend le métier et ses à côtés chez des clients ou clientes qui veulent se faire ramoner.
Il y a deux jours je bricolais et la chaleur étant insupportable j’avais ôté mes vêtements et c’est nu comme un ver que j’allais d’un bâtiment à l’autre. Ma maison est à 100 mètres des voisins et la dernière de la rue, après c’est les champs.
Je vaquais à mes occupations quand j’entendis le bruit d’une voiture qui arrivait. J’attrapais un paréo que je garde à porter de la main quand je me balade à poil. Je sorti du hangar et reconnu la camionnette de Tonio. Je m’approchai et Tonio ouvrit sa porte et je vis qu’il était à poil et déjà en érection. Il me dit « bonjour, suces moi, salope ! » Je ne me le fis pas dire deux fois et commençais à lécher sa belle queue en descendant je lui bouffais les couilles. Il commençait à gémir sous mes coups de langue. Je pris enfin son mandrin en bouche et le pompais en faisant tourner ma langue autour de cette colonne de chair qui n’en finissait pas de grossir. Je sentais le flux de son sang irrigué sa pine. Tony qui était sur la banquette à côté n’en perdait pas une miette. Tonio lui dit « prends du gel et une capote dans la boîte à gants et va t’occuper de son cul à cette chienne tu sais comme elle aime ça cette chienne en chaleur » Tony s’exécuta et vint me tartiner la rondelle puis y introduisit un puis deux doigts, il les tournais en les écartant pour bien m’ouvrir pour que sa grosse queue puisse entrer facilement. Je senti son gros gland se présenter à ma porte des plaisirs, il poussa légèrement et la porte s’ouvrit sans problème, il me tenait par les hanches et me tira en arrière pour que je m’empale sur son sexe. Il me tira si fort que ma bouche quitta la bite de Tonio. Je m’empressai de la repren ...

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