Il fait tellement chaud depuis quelques jours que je dors nu sur un drap de flanelle. Hier soir, j’ai eu du mal à trouver le sommeil. Peut-être parce que j’ai visionné du porno jusque tard en caressant ma queue tendue, mais sans aller jusqu’à gicler. Je suis resté sur mon excitation maximale. J’étais comme une chienne en chaleur, avec dans la tête toutes ces images de baises intenses. Celles de ce garçon en bas résille et talons, très désirable en levrette à quatre pattes, jupette relevée sur ses reins, offert à un mâle en rut. Il tend ses fesses vers le sexe dur et supplie de se faire pénétrer. Face à lui, un autre étalon joue à le bifler. Deux queues de rêve qui le fouettent, l’une sur ses petites joues et l’autre contre ses fesses roses. Et moi qui mate et voudrais être à sa place, la bouche grande ouverte et la raie en sueur. Son bustier de satin noir aux fines bretelles flotte sur ses épaules délicates.
La langue tendue vers cette bite dressée et les fesses repoussées contre ce tube conquérant. Il est en demande, il attend, redoute, espère, tremble, s’ouvre, supplie.
Il faut te dire que je suis une petite trave bien gourmande, salope même. Comment dire… très chienne. Et perverse ! J’adore allumer les mecs, les exciter en tortillant mon Q avant de me laisser prendre, leur accordant leur récompense et la mienne surtout.
Je n’ai pas toujours été celle que je suis aujourd’hui. J’ai eu une vie hétéro, j’aime les femmes. Un jour, en me touchant devant des vidéos de filles superbes, j’ai cliqué par curiosité sur la catégorie gay. Ça m’a excité et je me suis surpris à gicler devant des images de trio homo. Ça m’a perturbé au début. Par la suite, j’ai testé les catégories Trans-Trav et j’ai eu la révélation ! J’aime voir des queues dressées pénétrer des Q dilatés. Je suis donc bi et je veux goûter à tous les plaisirs. J’avais vu, il fallait maintenant que je touche, caresse, suce une bite. Par les réseaux, j’ai très vite trouvé l’objet de mon désir. Ma première queue a été magnifique, j’ai dit au type que j’étais débutant, il a été très gentil, m’a rassuré… et je l’ai avalé sans broncher. Le virus était en moi !
Quelques temps plus tard, j’ai commencé à me féminiser avec des articles commandés sur Vinted ou Shein. Si on m’avait dit qu’un jour je sortirais en porte-jarretelles et rouge sur mes lèvres, j’aurais halluciné. Et pourtant, les sensations sont extraordinaires, mon excitation folle dès que j’ouvre mon armoire dédiée à mon loisir. J’attends le soir pour aller me balader aux abords de Gerland, mais attention, le quartier est chaud et la concurrence rude. Je ne vais pas jusqu’aux camionnettes du boulevard De Coubertin. Chacun son truc. Je tourne secteur Artillerie ou vers le Ninkasi, entrée du métro. Je prends parfois une rame jusqu’à Bellecour, juste pour me tester. Des types me mangent du regard, je serre les cuisses et je regarde à l’extérieur. Surtout ne pas provoquer, juste exciter, c’est un jeu. Pas comme lorsque je tapine. Dans ces moments, je suis juste une fille sexy, très crédible. On peut se demander si je suis mâle ou femelle, fille de banlieue un peu allumeuse inconsciente de son sex-appeal ou salope mariée en manque d’émotions. Comme je suis petite et menue, on peut me donner la trentaine alors que j’ai un peu plus. 1m73 pour 59 kg, c’est moi ! On me dit bandante… À Bellecour je fais le tour de la place en me dandinant, aucun risque ici, le quartier est secure. Je prends un Perrier rue République, mes jambes attirent les regards, c’est l’heure des sorties de bureau, l’atmosphère est tiède, électrique.
Quand la nuit arrive et que je suis bien chauffée, ma libido se libère et je commence à imaginer des scénarios avec le beau mec qui m’a lancé un regard gourmand ou pourquoi pas cette bourgeoise coincée qui voudrait bien y goûter. Elle est peut-être en string sous son tailleur et ne serait pas contre mes caresses sur ses cuisses magnifiques. Je chauffe, je me chauffe, ça brûle sous mon corsage, mes tétons sont durs… Je suis mec, je suis fille, je suis un animal sexuel et je m’aime comme ça. À ce moment-là, si un type me fait un signe non équivoque, je le suivrai sans hésitation pour aller le sucer dans les toilettes. Et s’il veut me sucer lui aussi, j’aurai gagné le jackpot.
Je serai alors mûre pour poursuivre ma soirée. Métro Gerland, changement d’ambiance, on monte d’un cran. Interdit aux mineurs. Je remonterai ma jupe plus haut, découvrant mes jarretelles sur mes cuisses brûlantes. Dans l’heure qui vient, un type va prendre du plaisir dans ma bouche, peut-être deux, et le goût de leurs semences se mélangera dans ma gorge.
Sur Lyon, j’aime aussi tapiner certains soirs dans le 7ᵉ, secteur Artillerie. Tu peux me trouver déambulant avec ma jupe rouge, bas satin. Souvent blonde et parfois rouquine. Mes talons résonnent sur le pavé. Une autre fille tourne parfois, on est connues comme les deux putes à jus du quartier. Une voiture passe lentement, le type nous mate, fait son choix. S’il embarque Natacha tant mieux pour elle, le prochain lapin sera pour moi. Il y en a un qui vient souvent et nous prend à tour de rôle. Natacha le déboutonne, le chauffe, le durcit à point. Quand il est bien excité, il lui demande de sortir de la voiture et de m’appeler. J’attends quelques minutes, histoire de le laisser mijoter, je suis perverse et je connais très bien les hommes. Tu as compris, je le retrouve suppliant, chauffé à blanc. Je le finis très vite, c’est ce qu’il veut. Pour lui, je ne suis qu’une bouche, une gorge, un déversoir à foutre. Une autre fois j’aurai le rôle de la chauffeuse de queue et Natacha sera l’avaleuse de jus. Je vois aussi des jeunes puceaux hyper tendus qui giclent en 2 minutes, et des vieux qui bandent mou malgré leur pilule bleue. Je les accepte tous et je leur donne ce qu’ils désirent. Certains ne veulent que ma bouche et d’autres me prennent en levrette sur la banquette arrière. Beaucoup ont besoin de parler, seulement parler, mais très peu repartent sans un câlin entre mes lèvres.
Je sais que je pourrais demander de l’argent, certains insistent pour payer. J’ai des copines qui le font. Le type demande « C’est combien ? », il est plus à l’aise en payant et la fille se sent encore plus pute. Tout le monde est content. Parfois je réponds « C’est toi qui vas me donner du bonheur ». Le type apprécie ! Il rentre son billet et sort sa queue, content de l’aubaine. Ceux-là reviennent souvent et m’offrent des petits cadeaux. J’ai une boîte pleine de colliers, bijoux en toc ou parfums de marque hors de prix. J’ai accepté du chocolat et du vin.
Voilà, tu sais tout, je suis une belle salope mais je distribue du bonheur avec tout mon corps et mon âme.
Maintenant qu’on se connaît un peu, revenons-en à la nuit dernière, en sueur sur mon lit, fenêtre ouverte sur la rumeur de l’avenue Jean Jaurès. Des gens parlent, rient, draguent et concluent pour les plus chanceux. Dans l’appartement au-dessus du mien, ou au-dessous, des corps se touchent, se lèchent, s’entremêlent et se pénètrent peut-être. Je ne suis pas sortie ce soir, juste maté du bon porno. Tu te souviens, le garçon offert à deux queues… J’ai eu du mal à me retenir de jouir lorsque les deux ...
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