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dimanche au marché

Publié par : saucarien le 20/07/2021

C’est Dimanche, Il fait un temps magnifique, c’est véritablement le premier jour qui commence à sentir l’été, les vacances, et tout ce qui va avec! On se réveille tôt avec mon mari, des câlins, des caresses, mon chéri sans beaucoup de prémices me prend rapidement en levrette, il gicle…, une ou deux claques sur mes fesses…, un 69 des plus coquins, on prend plaisir…, et hop, un petit déjeuner, une douche…, une pipe au passage sous celle-ci…, et comme prévu, on part faire le marché …. Bon, tout çà, en deux heures tout de même !!!

J’ai enfilé ma jupe en jeans et pour la première fois depuis des mois, je sors jambes nues : il fait chaud et mes jambes sont pas très bronzées. J’ai envie de sentir l’air sur mes jambes. J’ai mis un sublime string en dentelle noire, mes seins nus sont libres, un petit pull d’été fin. Mon amour de mari aime voir mes petits seins se balancer librement, les tétons pointer à travers la maille : mon petit 90 A des plus fermes et naturels fait plaisir à voir et à toucher, tout faisant pas mal d’envieux et envieuses !!!

Il me complimente, me dit pleins de mots doux, coquins, cochons-même… : mélangeant tout, il a encore envie de me prendre là maintenant, avant d’aller faire le marché, et glisse ses mains sous ma jupe, déjà son index triture merveilleusement mon minou humide et commence à me doigter fortement ! Il me mordille le cou et chuchote :
« Viens, viens, j’ai envie…, viens, je vais te prendre debout là…, par derrière…»
Malgré l’excitation qui monte vite, je me dégage, je remets culotte et jupe en place tout en lui refusant sa proposition. J’aime bien le priver un peu son désir, la suite n’en n’est que plus magistrale. Je refuse donc, prétextant plein de choses :
• « Non, on va au marché, on va profiter du beau temps, après…, peut-être si tu ai sage on s’amusera comme tu veux, » et je vais passer la porte.
Il a l’air un peu contrarié mais frétille déjà. Je sais qu’il a déjà une idée polissonne dans sa tête, on contourne la maison et là tout de suite il se penche sur moi, me cale contre le mur et relève ma jupe…, j’essaye de le repousser mais il est plus fort que moi et mon string glisse d’un geste sûr et tout en faisant semblant de refuser, je relève un à un mes pieds pour qu’il ôte tout de même, et le fourre dans mon sac. De temps à autres, par jeux il s’amuse à me « débarrasser » d’une culotte juste avant de quitter la maison, ou « m’invite » ou je décide de ne rien porter dessous, sans aucune appréhension !

Nous voici déjà dans la rue, je sens le vent sur mes jambes, mais aussi sur ma vulve. Je viens de me faire complètement épiler le minou, la sensation est délicieuse, j’ai l’impression d’être nue dans la rue. Cette sensation de liberté me met dans un bel état d’excitation, que je suis trempée en quelques minutes. La ville traversée, nous nous retrouvons au milieu de la foule dominicale sur ce charmant marché, alors que plusieurs fois discrètement mon chéri a glissé sa main sur et même sous ma jupe, délicatement…, délicieusement, sans même que je ne le repousse, me collant, frottant contre lui… Ce petit « égarement libertin » me plaît, m’excite, m’enflamme ! de multiples fois, il me susurre qu’il adore me voir, me savoir ainsi !
Nous achetons fruits et légumes, le chariot qu’il tire, est plein de victuailles, puis mon mari me propose d’aller boire un verre en terrasse d’un café. Tel de jeunes amoureux je le tiens tendrement, me frotte contre lui, lui montre tout mon amour que j’ai pour lui. Il prend un Perrier citron et moi un café. Le soleil nous réchauffe, je suis bien, détendue. Nous parlons de choses et d’autres. Le temps passe, doux et tranquille. Pas une seconde je ne m’attends à ce qui va arriver. Mon chéri glisse sa main entre mes cuisses et me dit d’une manière ferme mais polissonne à la fois :
• « Maintenant mon amour je voudrais que tu acceptes ma proposition».
Mon cœur bat la chamade, et poussée par je ne sais qui ou quoi, tel un automate, je me penche vers lui amoureusement et lui murmure :
• Proposition décente ou indécente… ?
• Indécente… !!!
Et la prise dans un tourbillon, amoureuse que je suis, je lui chuchote sans beaucoup réfléchir plusieurs huuuuummmmmm…., ouiiiiii …. !!!
• « Tu vois le jeune, seul sur la terrasse de l’autre coté avec son portable ? »
• « Oui »
• « Il te mate les jambes depuis tout à l’heure, montre-lui un peu plus de toi ?!»
• « Quoi ? »
• « Écarte les cuisses et montre lui ta sublime petite chatte : première partie de l’indécence !!! »
J’hésite un peu, sa main me presse la cuisse…
« Allez accepte…, obéis !»
«Euh, Euhhhh oui, ooouuuiii ».
Le mot « obéis » dit de cette manière me désarçonne complètement et comme souvent d’ailleurs, je lui deviens des plus dociles, obéissantes, maniables à souhaits…
Je cherche en face vers quel homme je dois « m’exhiber », je repère un petit jeune l’air hagard, médusé par ces visions certainement, et ses yeux ne quittent effectivement pas mes jambes, il est concentré sur le bas de ma jupe et essaye de voir dessous. Je me tourne légèrement dans sa direction et écarte mes cuisses en prenant le temps, je veux voir le moment où il va comprendre sa chance millimètre par millimètre ... Mes genoux s’éloignent l’un de l’autre, ça y est, l’inconnu a compris, il relève les yeux me regarde stupéfait, puis regarde mon homme, à peine quelques dixièmes de secondes, et son regard replonge sous ma jupe. J’ai maintenant les cuisses largement ouvertes avec ma jupe remontée très haute sur mes cuisses, mon chéri glisse sa main le long de celles-ci, et discrètement tout de même, ses doigts se positionnent sur mon sexe offert et il écarte mes lèvres, les grandes puis les petites, j’ai carrément ma vulve humide à l’air, je me sens totalement vulnérable et fragile. Je sens que je suis trempée, l’inconnu se tortille sur sa chaise, il a probablement une trique d’enfer, il doit être serré dans son jeans.
• « C’est trop bon mon amour…, allez on y va , partons j’en peu plus…»
Je resserre les cuisses, j’ai envie de rentrer chez moi et de me faire baiser fort, et n’y tenant plus, je lui le dis. Il paye nos consommations et nous prenons le chemin de la maison, après avoir échangés un furtif sourire avec lui. Le jeune inconnu, prestement nous suit de loin, hésitant. Nous habitons à coté d’un parc, mon homme m’y guide en me disant :
- tu m’aimes… ?
- euh, oui, oui pourquoi… ?,
Fais-moi confiance, tu vas encore plus aimer, tu vas voir »
Dans le parc, il m’attire dans un coin tranquille, ombragé, un petit groupes ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Hétéro, Jeunes, Mûrs, Soumission/domination