Voilà déjà plusieurs mois que le beau gosse qui surveille la salle de sport me tourne autour. Toujours à se toucher l'entrejambe quand il me parle, à venir dans les vestiaires quand je me douche ou à laisser la porte ouverte quand il urine aux toilettes.

Quand je lui ai demandé pourquoi il faisait tout ça, il avait une explication pour chacune des situations : un TIC de se toucher le sexe, la nécessité de nettoyer les vestiaires de temps en temps et le manque de verrou aux toilettes.

Mais tout ceci ne me semblait pas convainquant. Jamais il ne se tripotait le kiki avec les autres, il avait tendance à nettoyer principalement le miroir situé en face des douches et les autres portes des toilettes peuvent fermer à clef.

Ceci dit, depuis mes demandes d'explication, il n'a plus recommencer.

Voilà trois mois qui s'écoulent et voilà qu'il recommence à m'allumer aujourd'hui. Il choisit de dépoussiérer le pied des machines, mais uniquement celles situées devant moi. Cela lui laisse le temps de bien se pencher, de dos, avec le pantalon qui baille, pour laisser entrevoir le début de ses fesses. Il le remonte franchement de temps en temps, dans son exhibition contrôlée.

Une fois que je suis sur la presse à cuisses, d'un air innocent il regarde sous mon short et ceux qui ont lu les premières histoires savent que je fais du freeballing.

Toujours à faire mine que rien de se passe, il fait comme s'il ajustait l’entrejambe de son pantalon, mais sa bosse est clairement visible.

Il se décide enfin à s'avancer pour me demander de l'aider à ouvrir le placard des sanitaires, dont la poignée est cassée. Ne trouvant ni ciseaux ni tournevis il me demande de lui prêter mes clefs, pour qu'il finisse de nettoyer avant de rentrer chez lui.

Sentant que ça commence à couler dans mon short et qu'une érection sans sous-vêtement se verrait beaucoup, j'accepte.

Je lui précède le pas pour aller dans les vestiaires et à son grand désespoir, la porte dudit placard était ouverte. Plus besoin des mes clefs, plus besoin de moi... du moins pour l'instant.

Au moment de me retourner pour repartir dans la salle, il se tient derrière moi, la braguette ouverte et sa bite visible.

Je le lui fais remarquer, mais il me répond :

«C'est pas grave, je la fermerai plus tard. Et ça te permet de mater».

Il rentre dans les douches et défait son pantalon en plein, laissant voir sa bite déjà dure, épaisse et poilue et de toutes petites boules. Je n'imaginais pas du tout son sexe comme ça.

Je prends le temps de le regarder. Le mien est en érection aussi et je n'ose pas me toucher car vu la situation excitante, je ne ferais pas que mouiller.

Il murmure :

«Tu comptes rester planté là ou tu te décides à sucer ?»

Je m'avance. Je m' accroupis et prends ce sexe tellement large que j'arrive à peine à en faire le tour avec mes doigts. À quelques centimètres, effectivement, on sent bien que c'est la fin de la journée... Je le branle un peu, lui dis que je ne m'attendais pas à ça, ni à le voir nu, ni à le branler, ni à le sucer...

«Putain, mais ta gueule ! en chuchotant les dents serrées. Suce !»

J'écarte la bouche à m'en décrocher la mâchoire pour réussir à y faire rentrer son gland. Je commence de petits va-et-vient, car impossible d aller plus loin, tout en lui tenant les boules.

Pour me soulager un peu, je me relève pour l'embr ...

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