... je vois mon fermier massif s'avancer vers moi et me désigner la grange en me disant : "vas dans la grange, tu y trouveras un collier et un bandeau, met-toi à poils, et attends"

Je m'exécute complètement exciter, sentant mon cul palpiter d'excitation et sachant pertinemment ce qui va m'attendre. Je me déshabille, attache le collier de cuir autour de mon cou et me mets à 4 pattes, le cul tourné vers l'entrée de la grange, la chatte offerte non sans me demander si finalement mes fringues de femelle vont me servir.

Après 5 minutes d'attente qui m'ont semblées interminables, j'entends le pas du fermier qui se rapproche. Il tire la porte de la grange qui se referme avec un bruit de frottement des poulies sur le rail métallique. Toujours à 4 pattes, le cul relevé en levrette, les yeux bandés, je sens les jambes musclées du fermier me bloquer la taille et sa main caleuse passer sur la raie de mon cul : "tu as un cul de femelle déjà bien ouvert" "tu dois souvent te prendre des bittes" Je réponds faiblement par l'affirmative.

Je l'entends cracher dans sa main pour revenir attaquer ma rondelle et commencer à la travailler. Il me dit qu'il va me faire couiner comme une truie et qu'il va profiter d'avoir une pute à son domicile pour bien se vider les couilles.

Je commence à me demander si je n'ai pas fait une erreur de venir seul chez ce fermier mais en même temps, la situation m'excite terriblement. J'ai envie d'être sa chienne et de lui servir de truie. Envie aussi qu'il me remplisse de son jus pour devenir son vide-couille ou sa pissotière.

D'une voix un peu tremblante, je lui dis que dans le sac qui est resté dans le coffre de la voiture, il y a mes affaires de femelle. Il me dit que je ne vais pas en avoir besoin tout de suite et me fait mettre debout en tirant sur la laisse du collier. Toujours mes yeux bandés, il me dirige vers le fond de la grange pour ressortir à l'arrière. J'entends des bruits d'animaux et j'identifie assez rapidement le bruit de cochon.

Il me demande si je sais de quel animal il s'agit. Je lui réponds oui dans un souffle.
"Tu entends maintenant ce que je vais faire de toi. Une truie que je vais dresser et baiser sans ménage. Ca sera aussi ta place ici dans la boue et la merde de porc quand j'en aurais fini avec toi mais c'est là aussi que tu devras m'attendre la prochaine fois que tu viendras car je vais te prendre en main de façon régulière" Ces mots me faisaient bander d'excitation et je ne pouvais pas le cacher. Il le voit et cela le faisait rire. Il attrapa mes couilles à la base et les serra pour me remettre à genoux dans la boue en me disant qu'il allait aussi m'apprendre quand et comment je pourrais me servir de ma queue. "Je te la mettrais sous contrôle pour que tu ne puisses bander et te toucher uniquement quand je le déciderai" "tu devras ainsi te concentrer sur ta chatte et ne jouir que du cul quand je te l'ordonnerai mais pour le moment je vais tester tes limites" et aussi tot, il fourra un puis deux doigts dans ma bouche me forcant à l'ouvir et jouant avec ma langue à me faire baver. "déboutonne moi salope" j'obéissais, excité et effrayé à la fois. Je me souvenais du sauna et je savais qu'une queue large m'attendait. Je sortis son engin avec deux couilles lourdes de son jeans crades des travaux de la ferme. Une odeur de pisse me monta à la gorge mais sans attendre, ses doigts firent place à sa queue qui força un passage au fond de ma gorge. Déjà à moitié bandante, il attrapa ma tête entre ses deux énormes pognes pour commencer un va et vient qui me faisait baver. Je bandais de plus en plus fort tout en essayant de retenir quelques hauts le coeur.
Il testa ainsi ma capacité à sucer pendant 10 bonnes minutes malgré des hauts le coeur et une ou deux fois où je sentis remonter de la bile et les restes du repas de midi. "Alors salope, ça te vais dégueuler" "Pas grave, c'est pour ça que je t'ai fait mettre à poils dans l'enclos des truie, ou tu ravales ou sa sort mais ta gorge m'appartient et prend l'habitude à ce qu'elle me serve de deuxième chatte" Après 10 minutes de fellation forcée, je n'en pouvais plus. Les larmes au ...

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