C'était au petit matin. Je venais de passer la nuit chez un mec qui m'avait invité pour un plan travesti. Nous avions passé la soirée à baiser, puis nous étions endormis ensembles. Mais il devait se lever tôt pour le boulot, alors à 6 heures et demi, après lui avoir fait une dernière pipe, j'ai rassemblé ma tenue de salope dans un sac, je me suis rhabillé en civil, et nous nous sommes dit au-revoir devant chez lui. J'étais encore mal réveillé, la bouche pâteuse et encore pleine du goût acre de son sperme. A quelques pas de là, il y avait un petit bistro qui venait d'ouvrir et dans lequel les premiers clients sirotaient leur café au comptoir. J'ai décidé de me joindre à eux avant de rentrer chez moi me reposer.
Je remuais la cuillère dans ma tasse tout en suivant d'un œil distrait le clip que diffusait la chaîne musicale sur l'écran au fond du bar quand j'ai entendu quelqu'un s'excuser derrière moi.
En me retournant, je me suis retrouvé né à né avec un grand black qui me demandait s'il pouvait s'asseoir à côté de moi. J'ai répondu que oui, il a tiré la chaise pour s'y installer, en restant un moment hésitant, à me regarder par en-dessous, sans réussir à parler. Je m'attendais déjà à ce qu'il me demande un peu d'argent ou un truc dans le genre quand il s'est lancé à l'eau : "T'es une fille ou un mec ? Parce que si t'es une fille, j'te trouve super mignonne." Il est aussitôt retombé dans son silence gêné, pendant que je restai bouche bée, hésitant sur la réponse à donner à sa question. Évaluant rapidement le rapport entre la chance de pouvoir me taper un black, un de mes plus gros fantasmes, et la probabilité qu’il prenne mal d’apprendre que j’étais un travelo, associée à la fréquentation du lieu qui semblait une protection suffisante contre tout mouvement de colère, je me suis lancé : je pouvais être une fille pour lui s’il en avait envie. En plus, il avait de la chance, j’avais tout ce qu’il fallait dans mon sac. Il m’a arrêté, d’un ton plus franc cette fois, en me demandant si je voulais dire que j’étais un … enfin un de ces mecs qui s’habillent en filles. J’ai acquiescé. « T’es un pédé, quoi ! » Je sentais une pointe de déception dans sa voix et j’y entendais s’envoler mes fantasmes de membres sombres et épais… Il s’est repris, en ajoutant que quand même j’avais l’air bonne. Qu’il était pas homo, mais que ça lui disait bien d’essayer… qu’au pire, si ça marchait pas, on en resterait là. J’ai confirmé.
Le hasard faisant bien les choses, il habitait juste au-dessus. Il m’a invité à le suivre, m’a conduit le long d’un escalier aussi sombre qu’étroit, avant de m’introduire dans un petit studio décoré avec goût et bien entretenu. En se retournant vers moi, il m’a expliqué qu’il était venu s’installer à Paris pour faire des études de design. C’est alors que je remarquai qu’il me dominait de la tête et des épaules. Il y avait un décalage curieux entre son physique de déménageur et le soin qu’il apportait à son intérieur, la douceur de sa voix, le calme posé de ses gestes, qui lui donnaient un caractère rassurant. Il m’a indiqué la salle de bain, en me disant qu’il préférait ne pas me voir me changer.
Après une douche rapide et un bon brossage de dents pour éliminer les effluves de la nuit passée, j’ai revêtu ma tenue de salope, bas et porte-jarretelles, string dentelles noir et soutien-gorge assorti, talon, mini-jupe et chemisier translucide, puis me suis maquillé avec soin après avoir veillé à éliminer toute trace de ma maigre barbe.
Quand je suis revenue dans la pièce commune, j’espérais de tout mon cœur incarner son fantasme féminin. Et je n’avais pas du trop mal me débrouiller, car il s’est aussitôt levé du sofa sur lequel il m’attendait en parcourant un magazine pour venir me prendre entre ses bras. Comme je l’avais pressenti, je m’y sentais protégée, complètement enveloppée comme dans un cocon. Il a penché ses lèvres vers les miennes et nous avons échangé un long baiser. D’une force tranquille, il s’imposait à moi, sa langue allait et venait, fouillait ma bouche tandis que ses mains glissaient sur mes hanches puis mes fesses, les caressant et les massant d’un geste ferme et doux à la fois. Sans vraiment me lâcher, il m’a guidée vers le canapé, s’y asseyant tandis que je restai debout devant lui, redoutant qu’il ne soit perturbé par le petite bosse que faisait naître sous ma jupe ses caresses aussi tendres que viriles. Mais il ne s’en souciait pas, faisant glisser sur ma peau le tissu de mon haut pour me le retirer, ses doigts agaçant déjà mes tétons qui pointaient sous la dentelle, bientôt rejoints par sa bouche, dont les mordillements et les sucions m’arrachaient des petits gémissements de plaisir. Pendant que ses dents et sa langue excitaient mes petits bouts, il a glissé ses longs doigts musculeux sous ma jupe, saisissant mes fesses et les écartant pour masser du bout de ses phalanges mon petit trou qui, encore ouvert de la nuit précédente, accueillit sans peine leurs extrémités. Je frémissais de plaisir, tout mon corps livré à son désir, totalement abandonné à sa puissance débonnaire à laquelle je ne cherchais même pas à résister.
Aussi, quand il s’est relevé, il n’a pas eu un mot à dire pour que je tombe à genoux devant lui, les mains dénouant déjà fébrilement sa ceinture, l’esprit un peu anxieux de ce que j’allais trouver à l’intérieur de son pantalon. Et je ne fus pas déçue quand, posant mes lèvres sur son caleçon, je devinai à travers la toile tendue la forme massive d’une queue aux dimensions prometteuses et que je sentais durcir sous mes baisers. J’ai fini par la libérer entièrement. Elle se dressait fièrement devant moi, longue, épaisse, sombre, avec une dominatrice arrogance à laquelle il n’y avait d’autre choix que de céder. J’ai arrondi les lèvres en l’aspirant doucement, jouant de la langue sur le frein tandis que le gros gland gonflé me remplissait la bouche, faisant déjà monter la salive. J’ai commencé à aller et venir et j’avais à peine avalé le tiers de la verge que déjà, je sentais le bout cogner contre le fond de mon palais. Ses longs doigts fins collés contre ma nuque m’invitaient à déplacer mes lèvres un peu plus vite le long de la tige tendue dont j’essayais de dévorer un peu plus à chaque va et vient. Il rigola doucement, en me disant que j’étais trop gourmande. Piquée au vif, j’insistais un peu plus, mais le gland s’écrasait au fond de ma bouche, refusant obstinément de passer ma glotte. Je sentais une bave abondante me couler entre les lèvres, dégouliner jusque sur ma poitrine. Je relaxais ma gorge, déglutissant à chaque fois qu’il venait buter contre mon palais, refusant d’abdiquer. Après un long travail de préparation, mes efforts furent enfin récompensés : me déboîtant presque la mâchoire, je réussis à faire glisser le membre surdimensionné au fo ...
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