(Suite de cette rencontre avec un jeune passif, un vendredi soir sur Boulogne sur mer)
Arrivé dans l'ascenseur, il me suce rapidement, me redonnant immédiatement une bonne érection.
"T'inquiètes" me lance-t-il en souriant, "je suis au 12ème étage, ça me laisse un peu de temps".
Il poursuit sa fellation bruyante, m'avalant en gorge profonde.
De mon côté, je suis partagé entre le fait d'apprécier ce doux traitement, et regarder les étages défiler sur le voyant.
Bien que je ne connaisse personne dans cet immeuble, si on peut éviter le scandale en se faisant surprendre, ce n'est pas plus mal.
Il se relève rapidement.
Je me rhabille avec difficultés, mon membre n'en ayant pas terminé. Cela l'amuse.
L'ascenseur s'arrête. Nous descendons et je suis mon pompeur jusqu'à un petit appartement.
Il insiste sur ma discrétion, sa copine étant absente pour la soirée. Je le rassure.
Nous allons directement dans sa chambre.
Assis sur le bord du lit, je sors ma queue. Il s'agenouille et me gobe goulument.
Sa bouche saliveuse coulisse sur mon membre. Il s'interrompt pour me lécher sur toute la longueur. Il s'attarde, sa langue frétille sur mon grand décalotté.
Il me pompe maintenant vigoureusement, allant jusqu'au fond de sa gorge. Accompagnée ses hauts de coeur, sa bave coule le long de ma queue jusqu'à mes boules. Il lâche son jouet pour lécher consciencieusement mes boules, les gobant et les suçant l'une après l'autre. Waouh ! Un moment divin.
Je me relève. Il enlève précipitamment son jean. Je le bascule en levrette au bord du lit.
J'abaisse son boxer.
"Hé, attends ! Mets une capote!" Me lance-t-il en panique.
Mes intentions sont toutes autres.
Je plonge dans sa raie. Ma langue effleure sa rosette.
Il lâche un soupir de contentement. Je crache sur son oeillet que je léche avec gourmandise.
Je le sens se branler énergiquement.
Mes doigts effleurent puis malaxe ...

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