Dépucelé quelques mois auparavant durant l'été de mes 16 ans lors de ma période d'école comme apprenti jockey, j'ai rapidement eu un comportement plus efféminé qui n'avait pas échappé à mon patron d'écurie.
Entre temps je vous ai déjà raconté comment le père d'un copain de classe m'avait cerné lui aussi pour finir par me baiser dans un chemin. 16 ans passés, 50kg tout mouillé pour 1,60m, je ressemblais plus à une jeune fille qu'à un futur jockey.
J'ai rapidement compris que mon patron avait des vues sur moi. Son regard insistant, sa soudaine attention à mon égard, sa façon de m'effleurer dans un box, bref je savais déjà comment ça allait finir.
Chaque matin je sortais des chevaux de course une heure dans les bois jusqu'à 11h.
Le weekend je partais avec lui et un cheval pour des courses sur les hippodromes de la région sans jamais qu'il ai fait attention à moi sauf comme un apprenti.
Ça matin là il m'a rejoint dans un box comme un patron qui vient voir si tout va bien pour son employé, sauf qu'il m'a ouvertement fait découvrir son intérêt pour moi.
Il me posait sa main sur l'épaule, me regardait droit dans les yeux sans que les miens se sauvent. Il me parlait doucement et à chaque réponse je le fixais langoureusement, et je le sentais bouillir près à me sauter dessus.
Le détail ne m'a pas échappé, il était en érection, j'ai quitté ses yeux pour regarder entre ses jambes et il n'avait aucune solution pour justifier cela, sauf l'envie de se faire sucer ou de me baiser.
Il s'approchait de moi et je reculais sachant que le mur m'arrêterait, alors dos au mur, sans vouloir m'échapper, j'ai passé mes bras autour de son cou et les yeux dans les yeux il m'a embrassé sensuellement, nos langues entrelacées, nos soupirs et nos haleines se mélangeant comme un prélude au mélange prochain de nos corps tant son sexe était dur contre mon ventre car il était beaucoup plus grand que moi.
Puis je l'ai arrêté, ce n'était pas possible d'aller plus loin à ce moment-là, sa femme ou des employés pouvaient nous voir.
Je crois ne plus jamais avoir mis un homme dans cet état.
Il allait partir quand je lui demande en le retenant par la main quand peut-on se retrouver seuls tous les deux.
Il revint vers moi, m'embrassa à nouveau et me dit "rapidement sois certain".
J'étais moi aussi en totale excitation. Je voulais qu'il fasse cocu sa femme. Je voulais l'entendre soupirer encore dans mon cou, mes oreilles, je voulais ce corps pour mes mains, sa bouche pour la mienne, je voulais goûter à nouveau sa langue et je voulais par dessus tout sentir son sexe en moi. J'étais déjà totalement à lui et il le savait.
Pas plus tard que le lendemain il passa me voir dans l'écurie pour me demander de l'aider à ranger les balles de paille dans la grange l'après-midi, j'avais compris.
Au lieu de déjeuner, je me suis totalement rasé le corps puis passé de la crème pour sentir bon. J'étais prête.
Il passa me chercher et je le devançais, je voulais qu'il matte mon petit cul qui balançait pour lui.
Arrivés dans la grange, j'ai récupéré une couverture et étalée sur la paille, il m'embrassa en déboutonnant mon pantalon pendant que je déboutonnais le sien.
Sa queue était celle que j'attendais, il était bien monté et j'allais me régaler.
Le pantalon aux genoux je commençais à le sucer en caressant ses couilles dures et lourdes remplies de promesses pour mes orifices. Pendant que je le suçais, l'embrassais, il continuait de me déshabiller pour finir nu sur la couverture.
Puis il s'est posé sur moi en me caressant les cheveux d'une main et les fesses de l'autre. Il m'a retourné comme une crêpe sans toucher la couverture, et je lui ai présenté son cadeau, une petite paire de fesses à ouvrir en deux par le milieu.
Il cracha sur mon anus et ce n'e ...

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