Aventure Bisexuelle.
(Partie 2)



Sortant de ma chambre, je croise la voisine qui en souriant et me faisant un clin d’œil, me dit nous avoir entendu dans nos ébats. Je rougis un peu et continu vers la chambre de mon collègue. Je toque à sa porte et il me crie d’entrer, qu’il est encore dans la salle de bain. Quelques minutes après, il sort complètement nu, s’excusant de n’être pas prêt car sa femme l’avait appelé au téléphone. Son sexe au repos garde une très belle taille, lui arrivant presqu’à mie-cuisse, ses boules pendant en dessous et son petit cul à l’air bien ferme. Croisant mon regard posé sur lui, il me demande si ça me plait, ce que je confirme d’un oui appuyé ! Il enfile un tee-shirt et son pantalon sans rien mettre dessous m’expliquant que le soir, il aime être à l’aise. Son pantalon très serré ne cache pratiquement rien de son sexe bloqué contre sa cuisse, il enfile un blouson et nous partons vers le restaurant. Un serveur vient nous accueillir et nous dirige vers une table, je remarque aussitôt ma voisine de chambre qui se trouve à la table d’à côté et qui en me souriant a les yeux fixés sur l’entrejambe de mon collègue. Nous nous installons et commandons un apéritif pour fêter la fin de notre formation. Après avoir trinqué, nous commençons à discuter de cette formation ainsi que de choses et d’autres. Notre discussion se poursuit après avoir commandé notre repas, tout en marquant une pause à chaque plats. Après quelques verres de rosé, nous dérivons peu à peu vers des questions un peu plus personnelles et intimes. C’est lui qui commence par me demander si je porte encore de la lingerie ce soir, ce que je confirme en précisant la couleur blanche de mes sous-vêtements. Il continue en me demandant si ma chérie est au courant de cela et si j’en porte aussi en sa présence. Après lui avoir répondu, il enchaîne sur une autre question qui apparemment le perturbait depuis le matin mais le rosé aidant, les barrières tombent, lui faisant hausser la voix, il me demande si je me godais régulièrement. Du coin de l’œil, je vois ma voisine qui tourne la tête vers notre table, son regard pétillant de malice et d’intérêt. Je lui réponds que oui, à chaque fois que j’en ai envie et que j’aime les sensations que cela me procure. J’enchaine aussitôt sur ses pratiques et si lui aussi utilise des sextoys et s’il a déjà testé la sodomie. Il me répond que non (pourles sextoys) et qu’il avait demandé à sa femme de la prendre par derrière, ce qu’elle avait catégoriquement refusé. Le voyant se tortiller sur sa chaise, je lui demande si tout va bien et il m’avoue que nos échanges le font bander et qu’il essaie de remettre son sexe tendu dans une meilleure position dans son pantalon. Notre voisine ne nous quitte plus des yeux depuis que nous avons commencé ce dialogue intime et lorsque nous nous levons pour quitter la table, son regard se fixe sur son pantalon et elle ne peut pas louper la barre en diagonale que forme son sexe tendu. Pendant notre retour, grisé par le rosé, il me dit qu’il aimerai me voir me goder et qu’il a envie de me sodomiser. Je lui réponds que j’en ai envie aussi depuis que je l’ai sucé mais que je n’ai jamais pris de vraie queue donc que l’on verra ça au feeling. Nous arrivons à ma chambre et je le laisse entrer en 1er jetant un coup d’œil derrière moi avant de le suivre, j’aperçois la voisine qui arrive derrière nous. Aussitôt la porte refermée, il me demande de me déshabiller en ne gardant que ma lingerie, ce que je fais immédiatement, lui, faisant la même chose. Son sexe bien droit me parait encore plus long que tout à l’heure. J’entends les pas de la voisine approcher, me dis qu’elle va bien nous voir si elle tourne la tête en passant devant la fenêtre, la lumière étant allumée et les rideaux ouverts. Pas manqué, elle tourne bien la tête vers la fenêtre et s’arrête même pour nous mater. Il ne l’a pas vu et se rapproche de moi, se plaque contre mon dos en me disant, tu sens ma bite contre tes fesses, ses mains caressant mes seins à travers mon soutien-gorge et mon sexe à travers mon string. J’entends la voisine repartir et la porte de sa chambre se refermer. Me lâchant, il me demande d’aller chercher mon gode et de lui montrer comment je joue avec. Je le récupère dans la salle de bain et le ventouse sur le miroir puis m’agenouille pour le sucer comme une vraie bite. Il me regarde faire puis s’installe sur le lit, vas y maintenant, encule toi. Je mouille mon doigt puis le rentre dans mon petit trou pour le préparer et me retourne, écartant mon string, je me pénètre lentement et commence de lents va et viens tout en caressant mes tétons bien pointés. Il me regarde en caressant sa queue au même rythme puis se relève et s’approche pour mieux voir dans le miroir ce pal entrant et sortant de mon cul. Il pose sa main sur mon sexe et sent le tissus bien humide ce qui lui fait dire, ça te fait bien mouiller ma salope. De lui-même, il me dégage de cette fausse bite, me fait mettre à genoux devant lui. Suce moi avant que je te prenne comme tu l’as fait avec ton jouet. Je prends sa queue dans ma main et approche ma bouche pour l’avaler le plus possible. Après quelques minutes, il me fait relever et me dit de me mettre à quatre pattes au bord du lit pour me prendre en levrette, ôtant de lui même mon string. Aussitôt, je sens son gland à l’entrée de mon petit trou qu’il me décrit bien ouvert et peu à peu, je le sens forcer mon entrée. Je lui demande de faire doucement et sa tige m’investit centimètre par centimètre ce qui me fait pousser un grand soupir de plaisir. Il commence à aller et venir lentement puis de plus en plus vite et de plus en plus loin dans mes entrailles me faisant crier de plaisir, lui disant que c’est bon, qu’il m’encule bien, que je le sens bien dans mon cul, l’incitant à continuer encore plus fort, de bien me défoncer. M’écoutant à la lettre, je sens d’un coup ses couilles heurter les miennes me prouvant qu’il est entré à fond me donnant l’impression de sentir son gland buter tout au fond de mes intestins. Tant pis pour la voisine ou tant mieux, mais je crie que je sens bien sa bite, qu’il me remplit à fond et qu’il va me faire jouir du cul. Il me dit que lui aussi est au bord de la jouissance aussi il se retire d’un coup. J’ai l’impression d’un grand vide en moi et je sens l’air frais s’infiltrer dans mon trou grand ouvert. Il me retourne après m’avoir enlever ...

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